En réponse à..

D’une délicatesse profonde, ton texte m’enveloppe comme le brouillard doux et calme.

Certains soirs de nostalgie sont en effet comme nimbés d’un nuage cotonneux qui nous berce doucement et tendrement....
Merci Genou...

"Comme l’ombre de mon aiguille, la vie passe ainsi, tout en semblant immobile..."

Je ne peux m’empêcher sur vos mots m’allonger, hélas de façon plus pesante que cette ombre vitale ! Cette phrase est joyau et un Webmaster avisé ferait bien de la frontoniser. Elle est pensée, ultime et résumant à merveille ce que nous sommes ici : immobilité de nos mots et pourtant un autre saura les étirer en lecture pour entrouvrir quelque plaisir secret mais dont l’ombre nous parviendra pour tisser ce lien momentané et fragile (qu’est-ce d’autre la Vie ?)

La vie n’est rien d’autre que cela, vous avez raison. La vie est partage éphémère, fil de soie fragile et pourtant si résistant que les êtres tissent entre eux....
Merci de vos commentaires toujours si captivants....

"suave comme un dernier baiser".

Voilà tout et vous le dites bien mieux.

J’espère que ce baiser ne sera pas le dernier de vous cher Patrick....
Mais non je m’égare les vôtres sont plus doux....