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Un texte puissance comme le cyclone. Image de désolation et de peur. Juste le temps de reprendre mon souffle. Merci Eric pour ce poème. Amicalement Genou.

merci genou, j’ai essayé d’exprimer ce que j’ai ressenti lorsque Luis est passé sur Saint Martin en 1995. Amitiés Eric

Wahou ! Je n’ai repris mon souffle que sur les points de suspension, je n’ai jamais vécu le moindre cyclone et là j’avais l’impression d’y être, peur et excitation à la fois.

La violence des éléments m’a toujours fascinée, tant de destruction et cette force qui va au-delà de tout et à qui rien ne résiste...

Merci de nous faire partager la colère du ciel d’aussi belle façon !

ps : c’est très bien d’avoir choisi un élément masculin pour décrire une telle violence... ;o)))

Merci de ta lecture Delphine. Luis précédait Marilyn cette année là ... et suivait Iris ! c’était effectivement le plus violent de la bande.
Amitiés Eric

Je ne connais pas pas les cyclones, car je n’ai que très peu voyager et jamais aussi loin. Ce doit être affolant à vivre

bonjour Aimela. Comme les animaux, quand le cyclone arrive il n’y a rien d’autre à faire que se terrer. On oublie trop souvent que sur ces terres paradisiaques les hommes vivent en permanence avec la menace des cyclones, des volcans et des tremblements de terre au dessus de leurs têtes. Le soleil à un coût...
Alitiés Eric.