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Un poème poignant où tu décris avec une grande sensibilité la misère humaine, cet alter ego, qui nous ressemble mais qu’on laisse trop souvent sur le bas côté de la vie à cause de sa différence... celle d’être exclu des circuits socio-économiques traditionnels. Dure réalité d’une exclusion sociétale qui se révèle selon moi symptômatique d’une France malade, malade de ne pas parvenir à intégrer tout un chacun ce qui génère des ilôts de misère. Alors, oui, osons ouvrir les yeux et regarder dignement ces hommes et ces femmes sans domicile fixe car ce sont des êtres humains comme vous et moi.... des êtres humains qui à un moment de leur vie, se sont trouvés dans un état de déséquilibre et ont sombré dans la misère. Nul n’est à l’abri de basculer un jour dans cette situation dramatique.
Merci à toi de nous avoir fait partager ce magnifique poème.
Amicalement
Déborah

chère Deborah...
Oui, il y a tant à voir quand on en prend la peine...
Cessons de nous regarder le nombril...
Le malheur et la misère avancent à grands pas...
Merci à toi
Amitié

tramway plein d’odeurs et de sentiments mélangés, un poème qui nous remet devant le sens de certains mots : se sentir, se souffrir, s’accepter... Merci

Merci O,
J’ai simplement ouvert les yeux dans ce Tram... C’est le nom de la chienne qui m’a interpellée...
Ton Amie

Bonjour Cassandre ! L’indifférence peut aussi tuer ; dans le même ordre d’idées, je t’offre le petit poème qui suit...
Un brin d’humanité

Comme à un chien on jette un vieil os à ronger
Tombe dans la sébile quelque menue monnaie
Parfois accompagnée d’un sourire forcé
Aux hommes de la rue qui sont sur le pavé…
Puis l’on s’en va léger et la conscience en paix
Retrouver sans remords la douceur du foyer
Sans songer un instant qu’au fond du gobelet,
Souvent plus que l’argent, juste de quoi manger,
Ces gens cherchent aussi un brin d’humanité.

Novembre 2006

merci JC...
Très beau poème...

Si seulement nous avions pas besoin d’en parler !!
Je te souhaite une belle soirée et un bon week-end
Amitié