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    Extérioriser

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Extérioriser 26 mars 2008, Lyrael IP:259a22b96cc169ea

Il doit vraiment être méprisable alors... Parce que je n’avais jamais lu un texte pareil de ta plume ma Lybis...

Il y a des choses comme ça avec lesquelles on doit vivre, et qui pourtant nous sont insupportables. Mais ça fait partie justement, de cette vie..
Sinon, ce serait trop facile. Et tellement mieux =/

Gros bisoux. Courage..

Extérioriser 26 mars 2008, Lyssia IP:bbf2071246d6c68b

Ma Ly

Juste un mot, qui résume ma pensée d’en ce moment : merci :)
Bisous :)

Et à bientôt !

Extérioriser 25 mars 2008, Gulliver IP:233e4e36c785f315

Bonjour,

Je pense comprendre quelque peu ton sentiment d’injustice.
Pour avoir déjà éprouvé moi-même cette frustration que tu as ressentie. Pour avoir moi-même jalousé certaines libertés que l’on ne m’accordait pas. Pour avoir dû me battre afin de durement acquérir ce que d’autres obtiennent en ne respectant pas les mêmes valeurs que les miennes. Maintes fois j’ai pu maudire ma triste situation et ce mauvais coup du sort qui ne m’avait pas donné les "bons" parents.

Par contre, je vois dans ta propre colère deux éléments sur lesquels il me semble que tu fais fausse route.
Tu désires la disparition de ton frère. Je ne pense pas que, tout insupportable qu’il puisse être, on puisse avoir à lui reprocher de vivre. Si j’ai bien compris ton texte, ce n’est pas lui qui est en tort, ce sont tes parents qui n’ont pas su poser avec lui les limites qu’ils ont su t’imposer à toi.

Le second élément tient dans cette phrase : "Oui, je suis jalouse... De son éducation, de son comportement, de sa violence, de son irrespect, de ses colères."
Comme toi, j’ai jalousé. Aujourd’hui, en mesure de percevoir les conséquences, sur les personnes que je jalousais autrefois, de ce manque de limites et de valeurs, je peux t’assurer que tu te trompes en le jalousant.
Tu devrais au contraire te féliciter d’avoir reçu de tes parents une éducation qui te permette de savoir où sont les limites et de connaître la valeur de chaque chose. De distinguer besoin et caprices.
Et plaindre ce pauvre frère qui, lorsque la vie se fera plus rude avec lui (parce qu’il n’aura pas toujours à ses côtés une mère complaisante, mais bien plus souvent un patron exigeant, des enfants capricieux et une compagne à satisfaire...) sera bien moins armé que toi pour y faire face.

Essaie de prendre en pitié cet enfant gâté qui fait sa petite crise d’adolescence en songeant aux problèmes qu’il rencontrera plus tard lorsqu’il se rendra compte des montagnes qu’il se faisait de ces caprices d’enfants...
Tes parents ne lui rendent pas service, n’aggrave pas son état en le haïssant.

Mais oui, c’est frustrant et rageant, m’enfin il y en a toujours qui ont plus de chance que d’autres... Mais rarement dans tous les domaines, et puis ça ne dure jamais longtemps (quand ça ne les dessert carrément pas pour l’avenir, comme dans ce cas).

Bon courage ! (oui, il en faut mais c’est valorisant après, je t’assure)

Extérioriser 26 mars 2008, Lyssia IP:bbf2071246d6c68b

Bonjour,

Je lis et relis ton commentaire.
Je... connais si peu de choses...

Il s’avère que si je fais fausse route, c’est sur un seul élément, la phrase sur la jalousie étant ironique.

Je ne désire pas la disparition de mon frère, mais j’ai déjà regretté qu’il existe : autrement dit, je me suis demandé comment ça aurait été, s’il n’avait jamais été là. Ce qui est différent.

Merci en tout cas, merci de ton commentaire et de ton soutien.

Lyssia

Extérioriser 23 mars 2008, papabul IP:195905625712d743

Lyssia,
je respecte cette colère, je peux même la comprendre, je la partage aussi dans la mesure où j’ai vécu pas mal de difficultés avec mon grand frère, mais dans un registre différent. C’était un révolté-déchiré, mes parents n’ont pas toujours eu facile. Avec le temps mon ennemi (nous avons tous deux des cicatrices physiques et morales, des coups que l’on se portait, et c’est véridique) ; avec le temps donc, c’est devenu un véritable ami, je le respecte et l’admire même ; les efforts qu’il fait pour s’en sortir, le type « bien » qu’il est devenu…

Mon histoire n’est pas la tienne, bien entendu, mais je ne peux que te souhaiter le même revirement. Qui sait ?

Je rejoins Patrick, Babou et les autres dans leurs commentaires.
Il me semble nécessaire que tu puisses en parler avec un adulte proche, en qui tu as confiance, garder cela en toi (même si ce texte est un exutoire) va te pourrir encore plus la vie.
Tu évoques un autre « enfant » dans la famille. Qu’en pense-t-il (elle) ? N’y a-t-il pas, à deux, moyen d’avoir une discussion ouverte avec les parents au cours de laquelle vous exprimez votre incompréhension de manière calme et ‘factuelle’ ? Quitte à préparer cette rencontre avec l’adulte évoqué ci-dessus ?

Pas facile d’être parent, c’est une autre vérité, maintenant je t’avoue avoir du mal à comprendre le laxisme que tu décris dans la mesure où ce n’est certainement pas un service à rendre à un enfant qui doit être un minimum ‘cadré’ pour pouvoir évoluer plus tard dans un monde qui impose des règles et des lignes de conduite…

Quatorze ans, crise d’adolescence ? je n’en sais rien, ma fille a eu sa crise un peu avant, mon fils plus tard. Mais jamais dans de telles proportions.
A-t-il une telle attitude agressive à l’école ?

Colère, incompréhension, dégoût, je comprends, mais « haine »… là ça fait un peu peur comme mot au ‘papa’ et au ‘frère’ que je suis…

Que dire de plus ?
Courage… protèges-toi du mieux que tu peux, essaye d’en parler avec une personne en qui tu as confiance, ne te laisse pas entraîner par tant de sentiments négatifs.
Facile à dire, me diras-tu et tu as raison… je suis incapable en plus de te dire ‘comment’ faire… si ce n’est d’essayer de prendre un peu de recul, la situation te choque et te révolte, elle te touche de près, en es-tu directement ‘victime’ ?
N’y a-t-il pas moyen de te rapprocher du « second » enfant dont tu parles, faire front à deux, aborder les parents à deux…
Je suppose que tu as déjà essayé de parler au petit frère… et j’imagine qu’il t’a envoyé sur les roses, a-t-il seulement conscience du tort qu’il fait à tous ? Est-il possible, crois-tu, de lui en faire prendre conscience ? En montrant par, exemple, les effets provoqués par son attitude sur d’autres personnes ?

Que dire de plus ?
Courage…
Bien amicalement
papabul

Extérioriser 24 mars 2008, Lyssia IP:bbf2071246d6c68b

Bonjour,

Merci pour ce long commentaire, qui m’apporte également du réconfort. Le second enfant est ma soeur aînée, que je ne vois plus souvent, et avec laquelle le dialogue a toujours été rare. Difficile d’en parler avec elle, donc.

Crise d’adolescence certainement, mais rien ne justifie selon moi un tel comportement, qui a juste empiré depuis quelque temps.

Merci encore, et désolée de ne pouvoir apporter plus de réponses ici.

A bientôt

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