En réponse à..

Tu as parfaitement raison. écrire est d’abbord un plaisir et quelques fois un pansement pour nos maux.

Bonsoir Aimela !
Soigner les maux par les mots
Et par là même son ego
Géniale thérapie
A laquelle je souscris !
Amitiés JC

Ah ! l’égo des auteurs.... bien sur ça existe, comme dans tous les domaines.
Mon avis est qu’écrire, est avant tout un plaisir égoïste, d’abord on le fait pour nous, ensuite le proposer à la lecture est une autre démarche, et là évidement comment nier qu’avoir de bons coms fait plaisir.
(Oui je sais je suis pas le mieux placé) mais quand même si je commente peu, je lis beaucoup.
Enfin pour en revenir au sujet, les égos surdimentionnés il y en a eu, (même sur la plume) en général ils écrivent ce que les gens ont envie de lire et partent ainsi à la pèche aux compliments. Mais les "m’as tu lu" ne font pas long feu et sont démasqués un jour ou l’autre. Etre authentique et en accord avec ce qu’on écrit est pour moi bien plus important que la forme. Ce qui n’empêche pas d’apprécier les beaux textes.
Un sujet rarement traité, merci à toi
Roland

Bonjour Roland et tout d’abord merci pour ton commentaire sage et mesuré !
Pourquoi écrit-on ? Je pense que les raisons sont multiples et les facteurs déclenchants aussi. Pour ma part c’est la mort de mon épouse qui m’a poussé à écrire l’histoire de notre vie, sans doute pour essayer confusément de revivre ces moments à jamais enfuis ! Difficile à expliquer mais c’était en quelque sorte ma thérapie ! A cette époque j’écrivais égoïstement pour moi- même en essayant de me convaincre que je le faisais pour mes enfants ; j’ai pris goût à l’écriture et j’ai couché (maladroitement) quelques poèmes sur le papier avec toujours le même sujet : ma femme !
Le temps a passé, la douleur s’est peu à peu estompée et je suis arrivé à rédiger sur d’autres sujets avant un jour de les proposer à la lecture de proches d’abord puis d’inconnus par le biais d’Internet.
Aujourd’hui je n’écris pas seulement pour moi mais aussi et surtout pour les autres, en somme pour être lu et de préférence apprécié comme tout un chacun mais je connais mes limites et chez moi la vanité ne prendra jamais le pas sur l’humilité . J’ai écrit "Humilité littéraire" pour vider un abcés en quelque sorte. Je connais un auteur amateur qui, telle la grenouille qui voulait devenir aussi grosse que le bœuf, à force de louanges (immérités à mon avis), va finir par se prendre pour le Roi Soleil de la poésie !
Mais comme disait un de nos célèbres prédécesseurs " Les flatteurs ne sont pas les payeurs". Bonne journée à toi Roland. JC

Je croyais avoir une leçon sur le sonnet (après l’alexandrin). Un texte très bien écrit. Tu as raison écrivons avec notre cœur et essayons de progresser avec les auteurs de la plume.
Amicalement Genou

Mais non chère genou je suis tout sauf un donneur de leçons même si parfois je titille un peu par ci par là !
Amitiés vespérales . JC