En réponse à..

Toujours une tristesse, toujours du noir, toujours aussi bien écrit. J’ai du mal à prendre ma plume pour vous commenter, tellement il y a d’émotions.

Genou, merci. Oui, c’est vrai tristesse, mélancolie, couleurs sombres alimentent souvent mes poèmes. Le soleil est à tout le monde non ? Il m’a juste oubliée depuis un certain temps, il reviendra !

Très intéressant ce poème "chapitré", avec ces ponts et ses ambages : le train, le temps, le toi et moi...
A la fois doux et résigné.
Sourire

Merci Vanina. Cela émeut toujours de relire ce genre de texte. Bonne fin de journée
sourire également

Bonjour Patrick, bonjour Moun.
Moun, permets que j’associe Patrick, dont je salue la perspicacité étonnante- à ma réponse. Il le mérite.

Merci d’abord d’avoir posé ce texte, qui précède chronologiquement ""L’inconnu de la Gare de Lyon" et l’éclaire d’un jour nouveau ... Celui-là, celui de ce jour veux-je dire, il est pour moi d’une valeur inestimable Je l’aime autant que je déteste l’autre
L’horloge dont il s’agit ici, Patrick, est en effet celle de cette Gare ... La même que je cite, longtemps après dans "La gare des Cœurs perdus". La boucle est bouclée .
Non, non, je n’ai hamais supervisé ton travail, Moun, on ne "supervise" pas un talent comme le tien. Je t’ai aidé à trouver des intertitres, car mon métier veut que je fasse ça tous les jours ou presque ...
Merci de m’avoir fait à nouveau prendre le train du rêve, même s’il s’agit du pays où l’on n’arrive jamais ... Ce train sera toujours en partance ... Mille fois merci.
Note 10, bien évidemment

Tu as bien de grouper tes réponses. La perspicacité de Patrcik le vaut bien !
La chronologie est respectée, je confirme.
"superviser" : pouh encore choisi le mauvais verbe... grr
A défaut de voyager en train, voyageons donc en mots ! Un plaisir aussi pour moi de relire ce texte.

Voilà : je ne supervise pas, je nuance le choix des mots ))