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C’est vrai que parfois on peut trouver exaspérants les gens qui parlent du "bon vieux temps" sans vraiment avoir connu le quotidien de ceux qui passaient des journées loin de l’image bucolique que l’on peut avoir de la vie a la "campagne", avec des veillées, des mère grand qui racontent des histoires, etc ; les temps étaient rudes. N’empêche, j’aime la bonne fatigue qui vient du travail physique ; et je trouve tout de même que c’était un mode de vie plus sain. Beau texte.

Bonsoir Pierre ! Comme toi j’aime la bonne fatigue physique mais quand on a dix, douze ans et que ça dure six mois de l’année,avant et après l’école et pendant les vacances, ça doit commencer à peser sur les épaules et sur le moral !
Je parle souvent avec d’anciens goémoniers qui ont connu cette époque assez dure de l’"entre deux guerres" ; ils ont aujourd’hui aux environs de quatre vingt cinq ans et se confient assez facilement sans jamais se plaindre de leur enfance mais c’était une autre mentalité où nécessité faisait loi ! Merci pour ton commentaire. Amicalement JC