Et moi au fond de mon abime,
Malgré le traitement de choc,
Qui me laisse électrisé,
J’écris ce qui traîne dans ma tête,
Des poésies, des prières, une quête :
Jamais je ne vous dirai,
Les pensées qui me traversent,
Quand je repense à elle,
A ses yeux,
Égarés dans mes yeux,
A sa main,
Dans ma main.
Jamais je ne vous dirai,
Cette douleur qui me transperce,
Quand j’imagine,
Son corps,
Sa peau.
Jamais je ne vous dirai,
Les frissons dans mon dos,
Quand je revois,
Son sourire,
Qui me frôle,
Ces baisers volés.
x.
x.
Non, jamais je ne dirai,
Ce corps d’une unique et belle soirée d’été,
Où je l’ai planqué !
PS : je te demande humblement pardon, Delphine, pour avoir détourné ce si charmant poème trouvé sur le forum...