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Ne crois-tu pas Viviane que la pluie est le désespoir....?? L’espoir revient toujours avec l’arc en ciel....surtout ne jamais perdre espoir même si les gouttes d’eau se mêlent aux larmes....
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Il me chamboule ce texte-là, pluie et larme confondues, vie et mort liées… Et malgré toute la tristesse, tout le renoncement, il y a tant de douceur. C’est magnifique Viviane.
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Elle est peut être triste lorsqu’elle tombe mais quel espoir elle donne. Si elle est fine, elle nourrit le sol et puis elle a toutes les chances de retrouver son nuage. Le soleil luit et la vapeur se redépose sur le nuage. Tu vois un éternel recommencement. J’aime la pluie
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Comme il est doux ce commentaire.
J’aime aussi la pluie, la bruine plus précisément, celle qui fait comme un habit. Et qui donne ce sentiment de ne savoir où commence la terre ou se finit le ciel.
Bisous , Aimela, je vais être absente quelques jours je vais voir.. devine qui !! Merlin !
Voir en ligne : Un autre bouquet pour toi, de ceux que la pluie nourrit..
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Ce poème est vraiment très triste....j’espère n’avoir jamais à vivre ces heures sans rêve et sans désir...Rêver, souhaiter, donner, recevoir.....tout simplement vivre.
Mais il est vrai aussi que se retrouver entre les pages d’un livre c’est refuser la solitude....et retrouver la quiétude de l’âme.....
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J’ai beaucoup aimé ce texte, doux et résigné.
Néanmoins il me laisse un sentiment de grande tristesse et celà amplifie ma peur de la vieillesse. A l’heure du grand bilan, ne ressent-on vraiment que ce grand vide ?
Je ne suis pas pressée de le vérifier !-
A l’heure du grand bilan, pour ce que j’ai pu en voir auprès de personnes très agées accompagnées en maison de retraite, le vide les aspire et elles en sont presque soulagées. Vers la fin la vie semble peser.. ce qui fait que je n’ai aucune peur de la mort. Elle doit être réellement une délivrance. Amitiés à toi Clo !
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Oh lala, je commence, il y en a tant et tant, celui là est joyeux. mon grand père Marius m’a légué ses carnets de route pendant la guerre de 14 et ses médailles, lui et son père Jules sont bien les seuls liens qui dérapent dans mes existences réincarnées, car ils sont souvenir vivace en mon esprit.
Je continue dès que je peux (boulot....) -
Quel régal poétique, ce dialogue avec ton (?) grand-père ! Quelle vie riche fut la sienne partagée entre les caresses des femmes et l’odeur des livres ! Et quel plaisir de te lire à nouveau !
Bisous sur ce nouveau site où ton talent est toujours intact.
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Poète, quel bonheur de te lire à nouveau.
Tu es une plume , et quelle plume.
Rejoins nous.Nous sommes ici entre amis qui ont choisi la douceur et la tendresse. Notre hôte nous offre un site qui ne cesse de grandir en beauté et possibilités. Explore le et offre nous ces beautés qui sortent de ton encre.
je t’embrasse très très fort.
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J’aime bien ton texte, mais tu le sais déjà, non ? Et puis j’aime pas les nuits sans étoiles, sinon que regarder les soirs d’été dans le jardin ?
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Ton texte est beau et trés dur. J’aime beaucoup l’image des étoiles qui s’éteignent.
Le plus triste, c’est que cela pourrait être une histoire véridique. -
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En effet, combien de fois ai-je entendu des parents dire à un petit garçon, qu’il ne devait pas pleurer, parce qu’il devait se montrer très fort pour devenir un homme. Comme si les larmes étaient l’apanage des femmes et signe de faiblesse !
Moi un homme qui pleure me fait craquer, je n’ai qu’une envie c’est de le prendre dans mes bras et de le consoler.... ;o)
Merci de ta lecture Genou...
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Un homme sans larmes ne peut être que malheureux car pour ma part il m’est souvent arriver de pleurer. De rire, je l’admets mais, les larmes sont une façon de vider ces tensions.
Très beau texte.
Amitiés..
LGilles -
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Les arbres sont symbôles de vie....ils tracent nos destinées....! S’accrocher à une branche et la suivre jusqu’au bout car telle est la route définie.... Un texte tout en sagesse et en justesse....!
J’aime beaucoup les arbres pour tout ce qu’il représente de force, de vigueur et de sécurité....et tu en as donné ici une belle preuve.... -
Très belle métaphore des chemins de la vie et des branches de l’arbre. Savoir enfin, savoir déjà, que le chemin que l’on suit, on l’a réellement choisi et qu’il ne s’agit pas là d’une erreur de plus… ; bref ta dernière phrase est pleine de promesses.
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Un arbre pour toi...
Un chemin de briques jaunes pour moi.
Pourtant le message est le même, les questions aussi.J’aime ce regard que tu portes à la vie, portée par tout le poids de ton humanité, de tes doutes et de tes espérances...
Et toujours cette magnifique plume d’où s’écoule l’encre de ton talent...
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De La Fontaine de ces mots je m’hydrate et t’en tire révérence. Las ! Parfois je me suis senti ici comme charmeur mais trop d’honneur je m’accordais à moi-même et d’une authentique lecture (délaissant ainsi mon plaisir narcissique) j’ai poursuivi l’ouvrage me disant cependant que vieux je n’étais pas vraiment. De la petite souris si charmante, je conserverai une image poignante car ici je les chasse mais en ce Londres (où tu ravis) alors je veux bien sombrer sous le charme. Puis j’ai revu ce délicieux film de WD et aussi la culotte de SH, ce fameux détective londonien. Ainsi, sur ces trois références, je te tire la mienne et te complimente d’autant (sauf que mon dos crie assez).
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Comme il est surprenant de voir comment Chat se laisse pièger et se meurt d’amour pour un rongeur....j’ai lu à mon chat cette jolie fable et je le vois se trémousser de rire en ronronnant....
Merci de ce joyeux moment Vio.... -
joli poème qui n’est pas sans me rappeller un certain matou
danseur de tango virtuel n’est il pas,,,,,,,, ?,,,,,,, -
Violaine c’est avec un grand plaisir que j’ai trouvé l’endroit où je pourrai enfin de nouveau te lire. Cette fable est une merveille.
Je m’étonne malgrè tout que la belle n’ait pas craqué !
Moralité : toutes les femmes ne sont pas stupides !!! -
je connais une souris qui s’est faite à moitié manger par un matou de cette espèce.. Et qui ne s’en remet pas...Merci Violaine, heureuse de te lire.
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Je viens de passer un très agréablement , j’espère que le chat ne changera pas d’avis, qu’ il ne la croquera que du regard.
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Belle mise en scène qui s’applique à tous les drames puisqu’un moment j’ai pensé au raz-de-marée. Ainsi en est-il des catastrophes, des conflits, des accidents : la vie se déroule globalement paisible puis, à l’image de la goutte qui fait déborder le vase, explose de frayeur avant de retourner à son ordinaire, mais celui-ci est défait et tristesse.
Ta façon d’écrire est charmante, les mots s’accumulent pour composer un bouquet qu’ici nous déposerons en mémoire des victimes de ça, de là. Merci ....-
Oui Patrick, c’est exact l’histoire est remplie de tous ces petits instants que l’on croyait paisibles et qui en une fraction de seconde se transforment en cauchemar.
Les allemands qui durant la guerre civile espagnole ont bombardé ce village tranquille où s’étaient réfugiés des femmes et des enfants fuyant les lieux de combat, ont justifié ce drame en le qualifiant de "simple erreur tactique"...reléguant ainsi les morts au rang de l’inutilité....
Merci de ta lecture et de ton commentaire... -
De ces erreurs on retiendra aussi le bombardement américain sur Saint-Etienne, décimant une école englobant élèves et professeurs (cela dit sans aucune volonté de comparer ce que tu cites ou d’en graduer l’horreur) mais les conflits sont ainsi et les innocents (que l’on vient ici de commémorer) le resteront pour l’éternité ...
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La violence est tellement banalisée de nos jours que pour dire tous ces drames, la poésie reste certainement la meilleure façon de les raconter pour toucher un peu plus.
Guernica est une véritable monstruosité, une parmi tant d’autres qui ont traversé l’histoire de chaque pays. Une simple erreur selon l’état major allemand...!!!
Sourire.
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J’ai toujours aimé cette comparaison d’une vie avec le flux de la rivière. Celle-ci creuse des canyons...comme autant de roches usées et abimées par la mémoire de l’eau...Comme les cicatrices invisibles de la mémoire de l’âme....
Merci d’avoir déposé ce texte dans cet espace ;o) -
De l’adret et l’ubac nous pourrions rechercher le ying et le yang, le dessus du dessous mais sans jamais perdre cette ligne de partage (la rivière) qui entre l’un et l’autre (comme Jules et Jim) vacille d’une berge. On se surprendrait même (dans ce texte fort élégant) à s’arrêter sur le tiret posé entre "au" et "dessous" à moins que ce ne fût "au" et "dessus" (il serait d’ailleurs judicieux de fenêtrer la source... tiens, nous ne sortirons jamais de ce flot bonifiant pour les idées), bref, ce tiret tisse pont entre notre "nous" et celui que l’on voudrait être (Hyde et Jekyll ?) comme pour mieux faire apparaître ce gouffre, ce canyon qui inlassablement ce creuse : d’un côté ce que l’on voudrait, de l’autre ce que l’on a... d’un bord ce que l’on voudrait dire, de l’autre ce dont on accouche.
In fine, nous ne sommes que ce dilemne entre sagesse du corps et folie de l’esprit.
Merci pour cette émotion ainsi procurée qui entre ses lignes nous donne envie de sautiller d’un mot à l’autre car ici tout est lumière et si ce flot de mots reste impétieux et brouillon, ma foi il est torrent lui aussi. -
Eh oui Zoltar, la vie pourrait se comparer à l’Amazone, tantôt calme et docile, tantôt fougueuse et impétueuse. J’aime beaucoup moi aussi cette image de canyon que la vie ravine et modèle à son image. Merci de ce très beau texte.
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Merci de ta lecture Delphine.
Le mystère de notre quête de connaissance ne peut s’expliquer - partiellement - que par notre soif de revenir à la source de tout en même temps que de parvenir un jour au delta infini qui aboutit à la mer, afin de reprendre le cycle de l’eau, le cycle de la vie.
Nous sommes pris dans le même tourbillon que les cours d’eau. Notre corps humain est constitué d’eau, à 75 %, comme notre planète océan...
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Un texte que je vais imprimer pour le déguster plus à l’aise.
Une métaphore filante emplie de références philosophiques ;-o)
Que penser de cet adage : On ne baigne jamais deux fois dans le même fleuve ?-
Merci de ton passage François.
Tu peux déguster à ta guise. L’eau en est encore pure et... gratuite.
La métaphore mésopotamienne est facile à comprendre : entre le Tigre et l’Euphrate il faut alterner les bains de jouvence et de sagesse. Tantôt l’un, tantôt l’autre. Jamais deux fois de suite dans le même bain ! )
Non, en fait, cette image reprise par les Grecs signifie clairement que l’eau - qui te démontre continuellement le principe d’Archimède - n’est jamais la même. Les molécules qui ont caressé ta peau la précédente fois sont déjà parties à la mer. Symbole évident du cycle de l’eau...
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Un texte d’une richesse à explorer sans fin. C’est bien agréable de te lire, Zoltar, bien agréable et je te retrouve tout entier dans ces mots que tu poses avecla profondeur et le sens de l’image qui sont les tiens .. merci et mille bises pour ce moment philosophique.
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Merci ma petite fée de ta lecture éclairée. Voilà si longtemps que j’essaie de devenir sage à tes côtés. Y parviend- 5 sais que je suis né aux sources d’Elle ma mie et ce n’est ni un hasard, ni un présage. L’Elle** est une magnifique rivière poissonneuse* qui fut à la fois mon nid et mon lit. Pour le Poisson que je suis, n’est-ce pas merveilleux ?
* Rivière à truites notamment
** Hélas, elle n’est connue que dans le label Elle & Vire. Que n’ai-je connu la belle Elvire ! ;o))
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Je m’étais rendue compte depuis bien longtemps que la vie était loin d’être un long fleuve tranquille, mais je n’avais jamais poussé ma réflexion aussi loin.
C’est un très beau texte très imagé auquel je repenserai souvent en vacances au bord des rivières de nos montagnes où je peux passer des heures à observer le parcours de l’eau.-
Oui Clo, un cours d’eau c’est magnifique et gorgé de symboles. Mais il n’y a pas que l’écoulement de l’eau qui est magique. L’ensemble de l’écrin des deux rives est source de richesse, d’interrogations multiples, d’apprentissages éclectiques, et lorsque nous y prenons un peu garde, tous les secrets de la vie sont inscrits de part et d’autre du fleuve :
les animaux, les plantes, les hommes, leurs créations, leurs ponts & tous les liens entre les choses.
Mais je crois que j’ai bientôt fini d’explorer la rive gauche. J’ai atteint le niveau de l’amer...
Tant mieux ! Il me reste encore toute la rive droite avant de remonter à la source qui, comme pour les saumons, sera sans doute la fin de mon voyage. (° ! *)
Merci de ta lecture attentive Claudie...
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Je suis entièrement d’accord avec toi... la vie est un canyon semé d’embûches... mais c’est merveilleux, car tous les éléments positifs ou négatifs font de nous ce que nous sommes. Et dans les tempêtes de nos vies ne va t’on pas au bout de soi ?? Dans la fragilité de ces moments difficiles ne devient-on pas meilleur ?? Mon canyon me semble sans fin en ce moment... mais c’est si beau la vie !! Alors regarde dans le radeau là bas dans le canyon je me suis accrochée malgré les remous... et je sors parfois la tête de l’eau... regardes moi je suis plus forte que jamais et dans mon sourire tu pourras voir que je tiens bon la barre. A tout bientôt mon enchanteur Babou*
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Merci Violaine, j’ai vu ton message sur ma Bal , mais celui ci n’apparait ici suite au changement de Base de donnée....Mince !!! Mon premier commentaire ;o)
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> ATALANTE
2005-03-03 14:28:14 genouBonjour Bernard
Je suis venue relire ton texte
que je trouve particulièrement très beau
malgré le froid éternel
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Bonjour Genou ;o))
Oui c’est un peu froid Atalante, mais la guerrière Titanide blesse souvent les pauvres gens à mort, lorsque ceux ci dans le froid, meurent sous leurs ponts quand un gouvernement dit Républicain oublie ses pauvres.
Oui, ce gouvernement là, fabrique des pauvres et les laisse mourir....C’est une manière de faire du totalitarisme comme pinochet et tant d’autres, tout en se réfugiant sous l’emblême de la dame républicaine...Une honte ! Et hélas personne n’ose elever la voix.
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Sans fautes à lire ou à lire sans faute, les deux font belle paire ! Reste cette "dame" qui peut-être (ou peut être aussi) d’une majuscule s’énivrerait de sa propre grandeur ou candeur.
Vers touchants, vers moi s’approchent et même si la prose garde mes faveurs, ici est délicat parfum de ... rose.
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Je découvre maintenant (mieux vaut tard que jamais) je dirais que c’est l’un de tes meilleurs crus. Précision, constance, rythme tout y est, bravo c’est superbe.
1. > Un matin de bonne heure, 27 janvier 2005, 20:18, par Bernard
Comme un petit Dimanche matin...sans souci.
J’aime bien cet ambiance qui se dégage de ton texte
on se sent bien. Je reprendais bien une tartine là !
Je peux ?
1. > Un matin de bonne heure, 6 mars 2005, 21:25
Avec plaisir, tiens, sert-toi !!
2. > Un matin de bonne heure, 27 janvier 2005, 20:24, par Delphine Lemaire
Un petit matin de bonheur, tu veux dire....Alors comme ça tu mets une épaisse couche de beurre sur ton pain.....??? Au prix où il est....???? C’était vraiment un matin pas comme les autres....!!!
J’aime beaucoup ton texte Franz, cette ambiance feutrée, douce, préservée....fragile comme une trêve, un répit....Ca fait du bien....très reposant....!!!
1. > Un matin de bonne heure, 6 mars 2005, 21:24
Ce matin-là, j’ai mis en effet beaucoup de beurre sur le pain frais ! Et c’était bon ! Et c’était exceptionnel !
Merci Delph.
3. > Un matin de bonne heure, 27 janvier 2005, 20:42
Le bonheur est une suite de petits matins fugaces et d’instants pris à la vie que l’on ne sait pas toujours apprécier et voir. Ce sont pourtant ces moments que plus tard on met bout à bout pour dire en fait j’ai été heureux mais j’ai toujours cherché trop loin ce bonheur que j’avais à portée de la main.
Merci François texte qui dit bien ce qu’il a à dire.
1. > Un matin de bonne heure, 6 mars 2005, 21:22
[… pris à la vie…] je préfère construits !
Merci de ce commentaire.
4. > Un matin de bonne heure, 5 février 2005, 12:26, par Vanina H
Un petit matin, bien agréable, qui donne envie d’être vécu. Il me rappelle certains dimanches de mon enfance, la famille en plus. Merci François, pour cet agréable moment, passé à te lire.
1. > Un matin de bonne heure, 6 mars 2005, 21:20
On le sait unique ment au moment où cela ce passe !
5. > Un matin de bonne heure, 6 février 2005, 09:41, par viviane Lamarlère
ces petits matins tous doux, où les choses les plus simples ont un goût de miracle.
merci François de ce moment très doux.
1. > Un matin de bonne heure, 6 mars 2005, 21:18
Merci Viviane, tu résumes précisément ce texte.
J’espère que c’est comme ça que l’on répond aux commentaires ! Hein ! Bernard ?
6. > Un matin de bonne heure, 11 février 2005, 06:56, par Clo
Ce petit plaisir fugace là... c’est celui que je préfère.
De tous les moments d’une journée de vacances, tu as très bien su décrire mon moment favori.
7. > Un matin de bonne heure, 30 mars 2005, 12:43, par genou
D’ici je vois le spectacle . Demain j’ai fait autant
Merci François pour cet agréable moment