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La Noirceur du Val
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La Noirceur du Val 25 octobre 2005, Delphine Lemaire IP:83aff66bf553439a
Un très beau texte où le malaise est palpable tout au long de la lecture. La description est précise et l’angoisse s’installe peu à peu au fil des mots.
Un hommage sobre et sans apitoiement aux victimes de cette tragédie.
J’ai été très étonnée de la date, je n’avais que 5 ans et pourtant je m’en souviens encore très bien, comme si ce drame s’était inscrit dans ma mémoire d’enfant de façon indélébile....
Merci Amaury
La Noirceur du Val 25 octobre 2005, roland IP:492d1b8077b3e64d
Et oui, je me souviens de cette histoire, et pourtant je n’avais que 12 ans, il y a des faits divers qui marquent.....
Mais c’est bien de pouvoir nous les rememorer quelques fois
La Noirceur du Val 25 octobre 2005
D’autant que, par le plus grand des hasards, c’est bientôt la date anniversaire de cette triste histoire.
Merci pour le commentaire.
La Noirceur du Val 25 octobre 2005, patrcik IP:de3a4220323f6417
Un rapide tour sur votre blog me fait penser à vous rappeler de venir ici déposer les quelques autres merveilles aperçues. J’en serais flatté de pouvoir à loisir les regarder et m’en laisser impressionner.
La Noirceur du Val 25 octobre 2005
Un grand merci pour vos commentaires, et vos compliments qui me vont droit au cœur.
En effet, nous ne sommes pas les seuls à ressentir cette douleur en traversant ce village. C’est comme si le malheur s’était inscrit à jamais dans la pierre.
Pour Hara Kiri, ce titre leur avait valu une interdiction de publication. Il est vrai qu’il fallait oser ! Comme l’a dit Coluche, on peut rire de tout, mais pas avec n’importe qui !
Je mets tous les textes que je juge suffisamment correct sur la Plume. Les autres, présents sur mon blog, sont plus des réflexions sur l’actualité. En tout cas je ne suis pas prêt d’oublier ce site lorsqu’un texte est terminé !
Merci à vous...
Je ne sais ce que vous nommez "terminé" mais ce que j’ai aperçu me semble l’être quoique je ne peux qu’acquiescer à votre souhait de peaufiner vos écrits.
Mais revenons à cette actualité et à cette ville qui transpire encore tout l’ennui pompidolien de cette France d’alors. Je ne pense pas qu’il s’agisse d’ailleurs d’une histoire d’âge même si je remercie les autres lecteurs d’affiner leur date de naissance, tout fait peut s’incruster dans sa mémoire dès le plus jeune âge. Je me souviens ainsi d’un geste d’un de mes grands-pères alors qu’il décéda lorsque je n’avais que moins de trois ans.
Mais revenons aux faits : cette agglomération subit le poids de cet enfermement, enfermement de la jeunesse comme le symbolise d’ailleurs trop bien ce drame. L’absence de normes de sécurité ne paraissant à l’époque que comme un fâcheux contretemps, c’est plutôt les distractions en elle-même (et l’insouciance des jeunes) qui ressortiront comme la cause du mal. Il est vrai que les bistrots tuaient moins massivement.