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Féminiterre
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> Féminiterre 15 septembre 2005, Clo IP:dc20bec1d08dd430
J’aime beaucoup la comparaison femme-mère/terre, et toutes ces images que tu nous envoies avec ce poème.
Bravo
> Féminiterre 15 septembre 2005, MAXY MOME IP:e1810614c87ff818
Merci Clo de cette lecture, Comment ne pas associer la Terre et la Femme, toute notre culture y pousse et comme féministe j’y adhère de toute ma sensibilité.
Amitiés
> Féminiterre 14 septembre 2005, Bernard Blazin IP:4c6d26ba16b1b21e
Ma terre, notre terre, juste femme au cœur de flamme qui fait tout pour nourrir et faire vivre ses enfants. Ils sont multiples et pourtant bien présents !
J’entends encore ( vas y voir dirait l’autre) le chant de la Sioule comme un appel, comme une plainte sourde de mère nature vers le petit d’homme qu’elle à connu. Puis cette autre plainte tout aussi douloureuse de la mère ( la vraie) et qui vieillit trop mal en perdant la source même de ses raisons.
Alors, je suis un fils de l’eau et de la terre et j’aime à contempler ton travail d’artiste, comme j’admire les courbes architecturales de nos belles femmes, nos mères, nos femmes, notre Terre !!
Merci beaucoup Max pour ce moment d’enchantement
> Féminiterre 14 septembre 2005, patrcik IP:5efc31b4a94d6f85
M’aurait étonné que cela ne finisse sur les courbes et les déliés du corps féminin !!! Enfin, un beau commentaire du BB national. On en redemande !o)))
Merci Bernard pour ce commentaire qui partage tout à fait mon sentiment du moment lorsque j’ai écrit ce texte. Terre et féminité m’ont apparues tellement liées, tellement indisociables, d’où le titre et les images mais...
J’ai posté depuis Terrabhorrée, car l’idylisme n’est pas vraiment la réalité, la béatitude n’est qu’un instant d’oubli, et je ne crois pas à l’Eden. Reste ce poème qui, dis-tu, t’a enchanté, ce qui me fait vraiment plaisir, car mon travail poétique est surtout fait dans ce but.
Amitiés
> Féminiterre 13 septembre 2005, patrcik IP:1c2ae2c63a561e64
Les phrases sont belles et je me suis surpris à observer là un féminin, là un masculin, gagné par cette différenciation énoncée en titre.
Plaidoyer pourtant sans surprise mais le constat en révèle-t-il ? Plus que "d’épuiser" on pourrait préférer "gaspiller" ou "détruire" mais là aussi sommes-nous si sûrs de notre impact ? L’Homme (masculin honteux) ne se prend-t-il pas là aussi pour plus important qu’il n’est ? Le débat reste plus que jamais ouvert après ce cyclone dévastateur ou certains accusent le réchauffement mais sans non plus pouvoir l’affirmer. A chaque époque, l’Homme se toise plus qu’il n’agit.
Reste de belles images, de ravissants attributs et, pour ma part, ce sont bien villes et fils qui défigurent ce monde devenu de plus en plus virtuel car rarement les hommes s’y arrêtent pour simplement respirer.
Merci de ces pensées.
> Féminiterre 14 septembre 2005, Maxy_Mome IP:e1810614c87ff818
Que voilà des commentaires qui ouvrent des voies nouvelles !
J’ai peut-être une autre approche du sujet à vous soumettre. C’est un autre texte que je poste à l’instant. Le paradoxe devrait vous amuser, du moins c’est mon souhait avec Terrabohrrée.
A vous lire et encore merci pour vos appréciations.
Amitiés