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Fleur du mâle
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> Fleur du mâle 20 septembre 2005, genou IP:3c7ccf4baf0fd808
Très bel hommage aux femmes et à Baudelaire. Très agréable lecture.
> Fleur du mâle 23 septembre 2005, Jean-Marin IP:d50f3d3f7569d44e
Oui, aux femmes aussi, nos fleurs ...
merci Genou
> Fleur du mâle 3 septembre 2005, florine IP:d1c6dde57aad3462
comment ne pas rouler des hanches à cette lecture....Je ne suis pas spécialiste de poête,pourtant en te lisant je pense que finalement je devrais m’y mettre.
> Fleur du mâle 4 septembre 2005, Jean-Marin IP:5a734f6988fffb05
Bonjour Flo,
Comme relevé par Moun, c’est aussi un hommage à la femme, qui roule pour nous des hanches ...
Oui, la poésie autorise beaucoup de choses ... Permets que je t’en courage vivement à la pratiquer.
Au plaisir de te lire, amitiés et merci
> Fleur du mâle 2 septembre 2005, patrcik IP:aab5e89ff84cf0ca
De vos vers j’ai osé plusieurs lectures tant la première m’a un peu dérouté, normal je ne vous fréquente que depuis si peu et pourtant j’aime à vous connaître. Reconnaissez que pour un commun (loin des dieux que vous évoquez) les images que vous faites jaillir de votre tridente plume sont peu ordinaires et cela reste un compliment. Remarquons (pour rester divin) que la chair semble ici aussi s’éveiller voire vibrer sous les glissements (ou feulements -je croyais que ce mot existait mais le dic reste muet ?) de l’archet que vous semblez manier avec dextérité comme votre clavier et si ces instruments s’accordent, alors je veux bien me laisser orchestrer par votre poésie et vous accorde sinon largesse mais au moins ma gratitude pour m’avoir fait passer un agréable moment en votre compagnie.
> Fleur du mâle 3 septembre 2005, Jean-Marin IP:90d42928d22e2432
J’ai toujours pensé, cher Patrick, que les tigres feulaient ... Nous sommes donc deux contre le dictionnaire et l’académie qui le supervise
L’allusion aux dieux est plaisante car mon pseudo principal est ... Théo
Merci pour ce commentaire agréable à mes oreilles immodestes, et au plaisir de vous lire à mon tour.
Amicalement,
JM
Ne vous importunez point à me lire hormis en bas de vos écrits car c’est là que j’éprouve le plus de plaisir. Prenez soin de votre plume afin de ne jamais en faire tarir les prodiges.
Euh ... Je vous lirai quand même mais en cachette, sous le manteau ... Le manteau de votre mère aussi, comme le sous vêtement qui ... que ... ? )