En réponse à..

Je suis trop peureuse pour me promener sur les landes la nuit,au moindre son, je m’enfuierai. en tout cas cela te réussit, tu nous as écrit un très joli texte. Contente de te "revoir" Delphine

Heureuse de te revoir aussi Aimela même si je ne dispose en ce moment que de très peu de temps.
Il ne faut pas avoir peur d’une nuit sur la lande ni des mystères qu’elle peut éveiller en nous et autour de nous. Il faut garder l’âme ouverte et se laisser entraîner...

Merci Aimela.
Amitiés.

Belle évocation de la mouvance, des chimères du personnages, qui se marient aux brumes de l’étang, on est prêt à sentir au fil de la nuit, se liquéfier nos propres os

Merci pour ce très beau commentaire Michel. Il est des nuits plus évocatrices que d’autres, j’ignore si cela vient de nous ou d’elle.

Amitiés

Un beau texte fantasmagorique qui entraîne irrésistiblement, tel un funambule sur son fil qui penche tantôt du côté du rêve et tantôt du côté de la réalité . Fragile équilibre ...
Mais "elle" a encore le temps avant que "sa main ne se pose sur la sienne".

Une prose poétique toujours aussi riche et sensible.

Merci pour ce "voyage".

La vie est ainsi : un fragile équilibre entre le rêve et le réel. De quel côté le funambule doit-il pencher ?

C’est vrai qu’il reste encore du temps mais malheureusement il s’écoule inexorablement...

Merci de ta lecture et de ton commentaire Guido.