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"une réalité qui déroule un rêve" que l’on a rêvé si longtemps qu’au fil des années il était devenu inaccessible. Comme si un rêve raconté, chanté, filmé pouvait avoir été simplement imaginé sans avoir jamais été vécu par ses narrateurs. Et si, comme pour tant d’autres choses, cela n’arrivait pas qu’aux autres ?
L’Amour, le plus beau des sentiments et le plus puissant car rien ne l’arrête, même pas la mort.
Merci Guy de ce merveilleux texte.
Amicalement
Sylvie

Ton analyse est perspicace, Sylvie. Il est vrai que certains - vas savoir lesquels ! - l’ont mis ou le mettent dans leurs "créations" parce qu’ils ne l’ont pas (encore) trouvé (durablement) dans leur vie.
Mai effectivement, si d’autres l’ont trouvé, parfois en ne le cherchant pas, alors pourquoi pas ... à condition de ne pas douter que ce n’est pas qu’un rêve.

Je suis très touché par ton beau compliment.

Merci à toi Sylvie.

Je suis unique
Je suis pluriel
je suis fantasque et ordinaire

merci guido

Oui, c’est ce que j’ai essayé d’exprimer.
Ces paradoxes qui font son mystère et sa force.
Mais avant tout, il s’agit de le vivre et savoir le faire vivre.

Merci à toi Ristretto.

Merci Guy de se joli texte.J’en savoure toute la subtilité, mais surtout je ressens ton texte à la lumière de ma propre passion.Il a donc une saveur très particulière.Je suis d’accord avec Jean-Claude,peu de nos contemporains le connaissent aujourd’hui.Le roi des sentiments a perdu ses lettres de noblesse.Par trop galvaudé, le monde moderne n’en distingue plus la multitude de couleurs qui forment le prisme unique d’une sensation qu’il est bien difficile de décrire.A bientôt au détour d’un poème...
Amicalement
Robert

"Je ressens ton texte à la lumière de ma propre passion" : voilà un bien beau compliment pour cet "essai". Il me rassure !... alors merci à toi.
Je me demande si de nos jours il a perdu ses "lettres de noblesse" ou s’il n’est pas uniquement devenu "démodé" dans un monde dur du paraître où il est de bon ton de ne pas se monter "sensible". Je manque peut-être de réalisme, mais la nécessité du "roi des sentiments" me semble toujours là ; simplement, certains s’en cachent, considérant qu’il rend en "apparence" vulnérable alors que c’est l’inverse.
Les chansons, films et romans où il y a de l’amour ont toujours autant de succès !.. et il reste une préoccupation majeure chez les ados même s’ils jouent aux "gros durs" aux yeux des autres.
Vaste sujet sociologique ! Sourire.

Merci Robert, j’apprécie beaucoup ton commentaire, comme tu peux en juger par la longueur de ma réponse ! Rire !
Amicalement ;
Guy