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Une belle description de cet objet fascinant, d’où vient cette passion qu’ont la plupart des hommes pour ce compagnon, comme tu le dis si bien, mais toujours dangereux.

Je suis maniaque avec mes couteaux de cuisine et hésite toujours à les prêter à des mains étrangères, même celles de ma femme ou de mes enfants... faut que ça coupe, que ça tranche d’un seul trait, éviter la tristesse des cisaillement dans une tranche de viande rouge…

Et puis, un jour de blues, je me suis offert un très beau couteau pur acier, court et lourd, avec un manche mi acier, mi loupe de noyer, il est plus beau qu’une jaguar...
Drôle de consolation, avoues, d’autant que je ne fais pas grand chose d’autre que de le regarder de temps en temps...
Bien à toi,
papabul

Eh oui, quelle idée de saliver sur un MAGNIFIQUE couteau. Et pourtant, souvent moi aussi je salive, c’est comme les belles voitures : pour le couteau, faut qu’ça coupe, pour la voiture, faut qu’ça soit coupé ouaf, ouaf

Bien beau texte Michel B... et qui ne nous rajeunit pas ! L’Opinel et la ficelle...une véritable épopée remplacée pour la nouvelle génération par le portable et la télé... Amicalement JC

eh oui, civilisation urbaine aujourd’hui. Dans 50 ans, j’écrirai donc une ode au portable...(ode posthume, NDLR)

Quel bel hommage au couteau Michel ! Je me souviens de mon grand père qui en avait un dans sa poche lui aussi et qui de temps en temps l’affilait précautieusement pour qu’il coupe mieux.

aujourd’hui, il nous reste la ressource d’affûter le langage.
merci de ton com