Le jour se lève 3 septembre 2006, genou IP:3f171865357a277a
L’espace d’un instant... même sans couteau , il est déjà mort. Je ne peux en dire plus long.
Bisous Genou
Le jour se lève 10 septembre 2006, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Je pense comprendre ce que tu veux dire. Il est inutile de véritablement tuer quelqu’un pour qu’il soit mort dans le cœur de celui qui a été trahi.
Merci Genou.
Bisous.
Le jour se lève 23 août 2006, Eric Bourdon IP:cfbfa808ee9780b1
on en viendrait presque à la comprendre et à l’excuser ! ... joliment décrit cet instant où la raison reprend doucement ses droits et cherche désespérement à effacer la folie d’un instant.
Amitiés Eric
Le jour se lève 23 août 2006, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
L’amour et la passion sont souvent la source des plus grands maux et donc des crimes les plus violents.
La limite entre la raison et la folie est infime, si infime que l’on peut en quelques secondes basculer de l’une à l’autre.
Si un jour je commettais un tel acte, il faudrait que je pense à demander à mon avocat d’essayer par tous les moyens de te faire sièger comme juré... 
)
Merci de ton commentaire Eric.
Amitiés.
Le jour se lève 22 août 2006, waiméa bay IP:e1be94300ad9384c
Un contraste saisissant entre la douce mélancolie du début et la violence du desespoir qui achève le songe.
Et puis :
"Le jour se lève... l’espace d’un instant..."
Un instant où la lucidité s’enfuit comme pour se sentir "vivant".
J’aime beaucoup.
Amitiés.
Pascal.
Le jour se lève 23 août 2006, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Qu’ajouter à ton commentaire ?
Tu as lu ce texte exactement comme je voulais le faire percevoir et je t’en remercie.
Il paraît que les personnes qui commettent des crimes passionnels sont souvent retrouvées dans un état de choc proche de la béatitude. L’apparente sérénité s’approche de la folie et devient une façon de lutter contre la réalité, une façon de nier leurs actes.
Merci Pascal.
Amitiés.