En réponse à..

Encore un texte magnifique dans la simplicité du silence ... et pourtant soulevant tant de questions suspendues, tant d’émotions contenues ...
il y a une sorte d’émerveillement qui s’en dégage, une certaine innocence aussi et un légere ... impuissance.

Amitié à Toi.
Marie.

ps : merci pour ton passage sur mespoemes.net

Merci Marie,

L’impuissance de l’être face à la mort et aux questions simples d’un enfant.. C’était bien cela que je voulais exprimer.
Double merci donc pour cette lecture attentive ! ;o)

Amitiés

Le père qui entend les questions muettes de ses enfants.Et lorsqu’ils interrogent,il ne peut leur répondre.Il y a comme un effort de communication,entre enfants et parents,et rien ne passe.Il n’y a que de l’incompréhension.On ne peut que partager des moments,chacun réagissant avec sa sensibilité propre.Mais les parents voudraient dominer tout cela:peine perdue.Tout parent doit attendre patiemment les questions de ses enfants et se faire un devoir de leur répondre avec sincérité."Je ne sais pas" n’est pas satisfaisant.Merci Bernard d’avoir provoqué cette réflection.Amitié Claude

C’est vrai Claude que le dialogue entre père & fils n’est pas toujours facile.
Ici il s’agit d’une simple communion entre mon père et moi, l’année qui précédait sa disparition..
Il semblait le savoir et nous...

Bien entendu , nous étions totalement innocents et aveugles de ses souffrances, sauf peut être à cet instant si particulier au bord d’une certaine rivière nommée Sioule..

Merci Claude

Amitiés

Un texte très joliment écrit, mais malheureusement oh combien triste...à la fois pour le départ du "patriarche" mais aussi pour nos doutes et nos impossibilités...
Beaucoup d’émotions.

Merci Sebastien

Effectivement tu as très bien analysé mon texte, car tu le résumes à la perfection..
Et les impossibilités sont tellement nombreuse en ce monde et paraissent si insurmontables..
Mais est-ce vraiment le cas ?
Amitiés