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Manuel.
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> Manuel. 26 mars 2005, Vanina H IP:29b9ab338d06b222
Terrible exil...
Un texte touchant, une fin poignante qui n’oublie pas la fierté...
> Manuel. 28 mars 2005, Delphine Lemaire IP:8bed46cd8198c56f
Les espagnols ont toujours été très fiers, il n’y a qu’à regarder leurs yeux sur les routes de l’exil....
Rien de pire qu’une guerre civile qui fait s’entretuer des frères et jette sur les chemins étrangers des femmes et des enfants...
Merci de ton passage Vanina...
> Manuel. 23 mars 2005, genou IP:c1f5b5b8ea24ca15
Une histoire que tu as su décrire à merveille, Atmosphère déchirante.
merci Delphine
> Manuel. 24 mars 2005, Delphine Lemaire IP:8ef698ba8730759f
Déchirantes comme le sont toutes les guerres civiles et les routes de l’exil. La guerre est une chose immonde qui brûle tout sur son passage.
Merci Genou.
> Manuel. 21 mars 2005, viviane Lamarlère IP:9c5a5e11d75b76d3
Un magnifique texte poignant.. J’aime cette dernière image pathétique.
> Manuel. 21 mars 2005, Delphine Lemaire IP:acb9ea8432ed546c
Merci Viviane d’avoir été sensible à ce texte. J’ai regardé il y a peu de temps l’excellent reportage de Frédéric Rossif : Mourir à Madrid (que tu connais certainement). Toutes les images sont bouleversantes, mais l’une m’a marquée plus que les autres, celles de ces paysans espagnols contraints à fuir et qui avait gardé au creux de leur poing pendant tout le trajet, une poignée de terre, de leur terre....