En réponse à..

Ayant lu ce texte juste après "l’Aigle noir", je n’ai pu m’empêcher de faire le lien.
Ton "isolé" fait partie de ceux que j’appelle les "sous-vivants", comme l’était mon grand-père...
La guerre est et reste une atrocité, malgré tes images poétiques !

Tu as eu raison de faire le lien mais comme je le disais un peu plus bas j’ai voulu rester dans le flou au niveau de l’époque...chacun se trouve libre d’y voir la guerre qui l’intéresse....

Je crois que ceux qui survivent à la guerre n’en reviennent jamais indemnes...

Merci de ton passage....

Je pense que beaucoup comme ton survivant ont eu ce sentiment de honte et de douleur de ne pas avoir été fauchés avec leurs camarades de combat !
Oh ce cri, je peux l’imaginer, je peux l’entendre !
Un texte pour dénoncer les horreurs passées et faire réfléchir ceux qui pensent reproduire !
Merci pour ton écrit Delphine

Ce sentiment doit en effet être terrible à vivre, joie d’être vivant, honte et désespoir mêlés...

Si seulement tu pouvais dire vrai, si seulement tout cela pouvait ne plus jamais se reproduire. Barbara chantait : "et si je pouvais seule faire taire les armes, je jure que demain je reprends l’aventure pour que cessent à jamais toutes ces déchirures".

Merci de ta lecture Moun....

ëtre vivant alors que tous les copains sont morts c’est affreux et que de cauchemars il est rempli de voir et revoir sans cesse ces images de l’horreur alors qu’il n’est responsable que de sauver sa vie. Très bien décrit Delphine

Je pense que se relever au milieu des plaintes des mourants doit être la pire des choses, le sentiment de solitude doit alors atteindre son paroxysme.

Tuer plus rapidement que celui qui est en face pour pouvoir vivre...la guerre est une abomination....

Merci de ta lecture Aimela...