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Chère Viviane, je viens de tomber sur ce poème qui m’a coupé le souffle. Ton style est tel que même lorsque tu parles, tu chantes. Tout est musique et tes propos sont toujours accompagné d’une musique divine. Tout cela contribue à une grande beauté dans tout ce que tu écris. Je t’admire.

L’admiration est réciproque, Bernard, à chaque fois que je te lis, j’ai le sentiment de traverser une brèche dans le temps et me retrouver dans un de ces beaux romans du XVIII ème. Emplis de sensualité et de rage secrete.
Amitiés à toi et au grand plaisir de te lire (je suis couleur écrevisse , là...)

La joie est partout et simple, c’est vrai mais parfois elle nous échappe sans que nous ne sachions pourquoi. Il suffit d’un regard, d’une parole ou d’un silence pour qu’elle s’abîme et se noie en tristesse.
Joli poème comme d’hab...

C’est vrai Delphine, la joie, c’est un peu comme du sable.. On croit le tenir et il glisse entre les doigts. mais que c’est doux de faire le chemin pour rejoindre les dunes...

Il y a des joies partout. Il "suffit" de regarder . Simple à dire, je le reconnais. Dans la vie il y des choix à faire et toi tu as pris le chemin de la joie. C’est le plus difficile mais oh ! combien gratifiant

Absolument, Aimela, ouvrir le regard... Et ne pas se laisser impressionner par les embuches du chemin, ne pas craindre de se mettre à nu, accepter les souffrances.. pour un jour, peut être arriver ? En tous cas pas de regret (sourire) Bisous et mille merci.