En réponse à..

Chère Delph,

une description réaliste et cruelle des impasses dans lesquelles nous enferment nos insuffisances, notre négligence, nos réflexes égoïstes et nos souffrances aussi ...

Il n’y a pas un mot à retirer de ce texte lucide, hélas ... Mais une leçon, oui : laissons toujours parler le cœur, ne bridons pas nos élans d’amour et de tendresse, car il ya des choses, comme le temps, qui ne se rattrapent pas !!

Mes amitiés

JM

Tu as raison JM, il faudrait toujours laisser parler notre cœur, lui seul devrait tracer notre route.
Le temps qui passe ne se rattrape jamais et si on faisait le bilan de toutes ces heures que nous perdons par fierté, par indifférence ou par égoïsme, on se rendrait vite compte de l’ampleur du gâchis.

Merci de ton commentaire JM. 

Amitiés.

difficile ce constat, difficile ces mots trop justes, difficile ce ’trop tard’ qui condamne et ferme les écoutilles...
’les mots s’éloignent effrayés par l’amertume de l’âme’, terrible cette phrase là.
Un doute subsiste : tu assumes la responsabilité de ce fracas ou il faut au contraire lire ce triste constat d’échec comme un avertissement à un ami qui s’éloigne et ne mérite plus ta confiance ?

Difficile et poignante l’impression de gâchis. Mais comme tu as raison de le rappeler ! : En amour ou en amitié, rien, jamais, n’est définitivement acquis... par contre il faut être deux à vouloir faire ces efforts là, à prêter attention aux signes de fatigue ou de fragilité.. sans cette complicité, cette connivence, l’issue est fatale.. mais alors, aussi triste et difficile que ce soit.. que peut-on faire contre le choix de l’autre de quitter la table ? Que faire dès lors que "le bêta ne répond plus"...

Moi je t’envoie une pleine brassée d’amitié sincère et un petit bisou magique sur le front (comme celui que l’on fait à l’enfant tombé, on sait que cela ne sert à rien, mais on espère un sourire en retour...)
papabul

Oui, en effet, c’est un constat difficile car, lorsque les sentiments s’en mêlent nous devenons tellement irrationnels qu’il est difficile de faire preuve d’objectivité.

Je n’ai pas la responsabilité de ce gâchis, je ne l’ai pas non plus vécu (quoique...) mais je crois qu’il est là, omniprésent, à notre portée qu’on le veuille ou non, nous pouvons devenir celui qui le provoque ou celui qui le subit.

Je suis tout à fait d’accord avec toi, il faut être deux à vouloir préserver les liens, si l’un des deux ne fait pas ce qu’il faut, l’autre ne peut pas indéfiniment sauver ce qui n’a plus lieu d’être. Si l’un des deux veut "quitter la table", je crois que rien ne saura le retenir ou alors de toute façon, rien ne sera plus jamais comme avant.

Je reçois cette brassée d’amitié avec un grand sourire Frédéric et à mon tour, je t’en envoie une.

Bises

... Je n’ai pas de mots assez forts pour te dire combien ce texte est beau, est si vrai.

Amitiés =)

Le fait que tu le ressentes est pour moi amplement suffisant Lyrael.

Merci de ton commentaire.

Amitiés.