En réponse à..

en lisant ton texte, on voit les minuscules rivières des humiliations quotidiennes se réunir en un fleuve grondant, au débit tumultueux qui emporte et broie tout sur son passage avant de se jeter dans l’océan et profiter de la liberté enfin conquise.

Amitiés

Quelle belle image poétique..!

Je crois en effet que les humiliations s’accumulent et ne peuvent être oubliées. Certaines personnes ploient sous le poids de leurs drames, d’autres heureusement réagissent et se rebellent pour enfin pouvoir vivre....!!

Merci Belphégor.
Amitié.

mon joug à moi est plus subtil mais la violence est la même. En te lisant, je me suis mise à taper du pied.
Si tu voulais donner du courage...c’est gagné

La violence quelle qu’elle soit est toujours inadmissible.
Qu’elle soit physique, qu’elle soit morale, elle reste violence impardonnable.

Si je te peux te donner la force de te rebeller, tant mieux Florine...

¡Defiéndete !

Amitié.

Quelle violence dans ce cri de révolte ! tu n’es plus celle qu’il croyait aimer, mais es tu enfin toi ?
Amitiés Eric

En fait comme je le disais à Aimela, je n’ai pas écrit ce texte pour moi,( celui qui me mettra au pas n’est pas encore né... ;o)) ), mais pour toutes les femmes qui ont souffert ce genre de situation et qui, par les aléas de la vie se sont retrouvées sous la coupe d’un homme trop autoritaire voire violent et qui un jour réussisse à se libérer de son emprise.

Merci de ta lecture Eric...

Amitié.