Quelques fois pour écrire, on ne trouve rien d’autre que les débris de sa propre vie... Je me regarde comme on observe une coupe de terrain où apparaissent les sentiments, mes sentiments, mes élans, ce qui m’a fait me mouvoir, moi et pas un autre, de là où j’étais vers là où je suis, en kilomètres d’espace, en années de temps, pour finir avec cette drôle de vision : une écorchée qui ne saigne plus, et regarde l’histoire de sa vie comme un foreur de pétrole, archéologue du carbonne et des neuronnes.L’histoire de ma tête était liée à celle de mon corps comme l’étoile à l’espace, le soleil à l’hélium et le bateau aux océans. Il n’y a peu d’univers dans l’existence.. J’ai différé à le dire et j’en ai souffert. Celà m’échappe... Plaisir du mot qui se griffonne... Chacun, s’envoie dans sa planète ! L’on n’écrit que pour être entendu ... Mais il faut du moins en écrivant faire entendre de belles "choses". Ces termes si propres expriment des pensées nobles, vives, solides et renferment un très beau sens. "Esclave de la construction !"Il est des histoires qui sont éternelles. Ce sont les histoires de nos vies qui se racontent, se construisent, dans le partage de l’amour sous toutes ses formes.
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châpitre 2091 !