En réponse à..

Juste assez, sans trop, de créole, de couleurs, de mots pour nous faire imaginer ce carnaval "débridé"...
Bravo et merci pour le voyage.
Sourire

le "kanaval" voilà une facette plus agrable que celle révélée par les "gladiateurs"... quoiqu’en y regardant de plus près il y a toujours sousjacent un côté sombre !
mais, bon ! faisons la fête
amitiés Eric

Une description si précise de l’ambiance, des couleurs qu’on entend presque la musique et les cris d’ici !

Par contre, tois jours que j’éviterais soigneusement car le carnaval a toujours fait naître en moi des angoisses inexpliquées.

Merci Eric.

Amitiés

tu as raison car même canalisée l’excitation des foules est un phénomène inquiétant ... comme si au delà d’un certain nombre (seuil critique qu’il faudrait définir) l’homme perdait son vernis et redevenait animal ... oui, c’est bien étrange.
Amitiés Eric

C’est quoi les « neg gwo siwo » ? cela doit être fabuleux les carnavals la-bas. En tout cas le poème nous donne la musique et les images

bonjou Martine, les "neg gwo siwo" sont les "nègres gros sirop", des hommes couverts de mélasse et d’huile noire qui symbolisent je crois les esclaves marrons. Ils sont presque nus et se ruent sur les spectateurs pour les étreindre et leurs laisser des traces qui valent tout le cambouis du monde
Amitiés Eric