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Souriez, je vous aime
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Souriez, je vous aime 27 novembre 2005, genou IP:372975f7b3f71fdf
Un texte aussi surprenant que vous. Un sourire que je trouve un peu triste.
Sourire
Souriez, je vous aime 27 novembre 2005, patrcik IP:24189502b27b2d28
Merci Amie, la tristesse est ma compagne aussi souvent que le soleil illumine la terre, la différence est qu’en moi rien de bon ne pousse hormis des mots déçus lorsque cette humeur me laisse à genoux.
Savez-vous pourtant que vous me redonnez confiance ainsi à déposer votre main sur moi ?
Souriez, je vous aime 20 novembre 2005, Moun IP:b36cd9faca061cca
Patrcik,
je connaissais le baiser de la mort mais son sourire !!! Vous avez su captiver mon attention et vous lire, j’ai une folle envie de vivre et d’aimer.
Merci à vous et retournez-vous, on ne sait jamais
Souriez, je vous aime 21 novembre 2005, patrcik IP:3537df5845cd5980
Si je me retournais sur le chemin de la plume, alors je vous perdrais de vue car vous me précédez : le parfum de vos propres mots ainsi versés n’a d’autre égal que l’ivresse qu’ils procurent. Que ce texte vous plaise, j’en suis humblement ravi et que vous m’accordiez temps de votre authentique passion pour la poésie me flatte. Je vous remercie donc humblement.
Ce texte ? Né d’une lecture comme quoi le pouvoir des mots seul importe et par ce fait je n’en suis que l’éxécuteur comblé. C’est bien ces émotions que je recherche dans mes lectures et si je ne vous emboîte le pas pour rimer en chœur, ce n’est que faiblesse de pieds qui aussitôt s’enmêlent et rendent ma plume figée.
Souriez, je vous aime 18 novembre 2005, chris2rire IP:11f6df5456cc7f1d
Le titre suffit à mon bonheur !
Votre héroine ne manque pas de caractère ! Vous dépeignez merveilleusement une femme de tête. Vous brossez amoureusement un tableau de maître, à moins que ce soit celui d’une maîtresse.
Et quand je dis maîtresse je pense à votre plume bien évidemment !
Souriez, je vous aime 19 novembre 2005, patrcik IP:baf6892967090311
Diable que de compliments ! A ce propos le Diable est-il oui ou non le compagnon (sinon l’amant ou le maître) de la Mort ?
Mais une femme n’est-elle pas aussi d’une certaine façon cette mante que les hommes façonnent dans leur imaginaire pour peut-être assouvir enfin leur destin de reproducteurs ?
Ici ne sont que clichés que vous m’inspirez peut-être et je vous en remercie pleinement. Êtes-vous réelle ? Je n’en doute et d’un baiser je voudrais m’en assurer.