-
En réponse à..
L’ennemie masquée
- Accueil
- Réactions
> L’ennemie masquée 19 août 2005, lgilles IP:7a2fb3398dfd6bc3
L’angoisse est une peur
qui ne se contrôle pas
mais si elle à ses heures
on ne les compte pas.
Très joli texte
Amitiés
> L’ennemie masquée 29 août 2005, Roland IP:3b4df0eaf1098f48
Salut Igilles, je crois qu’on peut sinon la vaincre, dumoins en attenuer les effets.
Merci pour ta lecture
Amitiés, Roland
> L’ennemie masquée 19 août 2005, Viviane Lamarlère IP:04dd8d8ce1160d50
Non, Roland, le seul fait d’avoir reconnu sa présence et mis un nom sur ce qu’elle est la fait reculer de trois pas au moins, crois moi, c’est une pleutre ( sourire)...
mes pensées t’accompâgnent, ces moments ne sont jamais agréables mais je me demande parfois s’ils ne sont pas nécéssaires.. Et puis, il en est né un si beau poème. Tiens, cadeau pour toi
> L’ennemie masquée 19 août 2005, Roland IP:fb5df6fb0b6e4e07
Coucou Viviane,
Elle et moi nous nous cotoyons depuis un bout de temps déjà, et comme tous les vieux ennemis, on peut dire qu’on est un peu complices quelque part, de temps en temps elle s’invite, mais elle reste de moins en moins longtemps.
Et merci pour ce tableau tout vétu de bleu, de toutes manières, Cézane était un génie
> L’ennemie masquée 18 août 2005, patrcik IP:822e91666b660eab
Angoisse des nuits noires (je suis tenace, savez-vous mais vous êtes libre d’écrire à votre guise surtout que j’apprécie).
La chute est quasiment vertigineuse, comme cette angoisse de la page blanche (merde, je croyais que "noir" c’était plus porteur) et ces vers se lissent délicatement pour justement réfreiner toute angoisse. Angoisse, dites-vous encore, angoisse du blanc... non du noir où se dissimule espoir.
Allez, je vous laisse angoisser.
> L’ennemie masquée 19 août 2005, Roland IP:b1ce6d4201cef5e9
En tout cas, si il y a bien une angoisse que je n’ai pas, c’est celle de la page blanche, non pas que je sois "productif" au contraire, mais je n’écris jamais sans que mes textes ne soient déjà construits dans mon petit cerveau.
Je ne me met jamais devant une page blanche en attendant que l’idée soit là.
Merci du re-commentaire