En réponse à..

On en a déjà parlé, je t’avais dit que ce commandant de bord aimait son métier et ses passagers, mais à la relecture je ressens non pas du cynisme de sa part, mais je le crois un peu désabusé. Peut-être par une longue pratique de l’Afrique ?
Je reviens à tes comparaisons, l’avion aurait pu être un caboteur, mais c’est le terme exact, il fait du cabotage.Quand à l’atterrissage parfait, moi un amoureux des atterrissages doux...je trouve ton image trés belle( ça s’appelle un kiss landing : tout un programme !). Et toi, tu étais déjà un reporter de guerre. Bisous.

je crois que ce pilote adorait son métier et surtout craignait beaucoup pour ses passagers. Et puis, comme nous avons eu l’occasion d’en parler, il aimait à partager ses impressions de vol et en cela c’était un vrai pro.. pas une machine <( :- (( Bisous Ami.

Eh !!! moi aussi je l’aurais bu le café......
dans ces conditions Arabica ou Robusta, on s’en fout on boit et c’est tout.
Toujours cette merveilleuse façon de raconter que je retrouve avec plaisir.
Amitiés
Roland

Merci Roland. En fait un souvenir vécu. Une escale pas vraiment comme les autres...
Amitiés à toi

J’aime beaucoup ce texte Viviane, une histoire tourmentée, celle d’un continent avec en toile de fond le poème de Boris Vian (que j’adore !!!) Tu as su merveilleusement bien doser l’angoisse rendue par la situation en la mêlant à une pointe d’humour qui détend pmerveilleusement. C’est certain que les arguments de ce barman étaient plus que convaincants....même moi qui ne suis pas fan de café....je pense que j’y aurais gouté à son arabica..... ;o)
Merci Hada Africana....

Tout le monde y a gouté à cet arabica, même ma soeur de huit ans. Quand on te pointe une kalachnikov en guise de sous-tasse, tu es prise de sous-révoltes et sans sous entendus.. La guerre du Biafra. Dur ce qui peut passer par la tête des hommes en temps de guerre.