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Bonjour Freya. C’est effrayant comme un seul regard peut commettre comme dégâts ... Heureusement tu t’en es débarrassée en écrivant ce texte Freya et je crois que c’était la meilleure chose à faire. Emplis toi de soleil, de "ballades en sous-bois", "de fous rires", "de mots doux", des "aboiements joyeux des chiens" ... etc c’est cela seul qui compte. Souvent les regards méprisants, attachés à l’apparence, appartiennent à des personnes qui ont perdu l’estime d’eux-mêmes mais ne se l’avouent pas consciemment. Ils trouvent une échappatoire en évacuant ce sentiment par du mépris et de l’arrogance. C’est toi qui est dans le vrai Freya, tu as trouvé ce qui avait de l’importance dans la vie et c’est ce qui compte. Amicalement. Annie

Les regards ne changent pas, avec le temps ils ont perdu de leur force et je passe sans être atteinte.
Merci Annie

Bonsoir Freya,

Je viens de relire ton texte avec un plus d’attention, étant plus reposée. Je le comprends beaucoup mieux. Ce que je ne comprends pas, ce sont les questions que tu poses. Je pense que tu connais tout à fait les réponses et tu y réponds parfaitement.
Je ne crois pas que les mots laissés dans toutes ces pages se perdent, qu’elles soient écrites ou non.
C’est vraiment bien écrit.
Je te souhaite de bonnes vacances et à bientôt.
Amitiés.
Maya

Merci d’avoir pris le temps de me relire et de comprendre. Je trouve triste que l’homme se complaise encore et toujours dans un monde superficiel aux images retouchées.
Bonnes vacances (les miennes viendront un jour).
A bientôt. amicalement

Bonjour Freya,

"La vie est plus importante que tout" c’est ce que je choisis de retenir de ce texte Freya. Je ne sais pas si j’ai bien compris mais il me semble que le "vous" concerne d’une part le corps physique et de l’autre, le cœur ou l’esprit ??? Et c’est toute l’histoire d’une vie qui nous est ainsi contée avec ses souffrances et ses joies dont la maternité. Un texte qui, au travers des mots, livre l’intime du cœur, de l’âme ou de l’esprit. C’est ainsi que je l’ai reçu. Merci Freya. Amitiés. Annie

J’ai écrit ce texte à la suite d’un énième regard fort déplaisant sur ce corps déformé par le cancer (ou plutôt pour le combattre) : nous marchions avec mon ami sur le trottoir et un couple de 45/50 ans venaient devant nous. L’homme avait le regard fixé sur moi et m’a presque percutée, alors que la femme avait un regard méprisant. Je leur souhaite de ne jamais avoir à vivre cela.
Merci de ta lecture