En réponse à..

Si je n’ai pas peur de la mort parce que j’ai toujours pensé qu’elle faisait partie de la vie et n’était qu’une naissance dans l’au-delà, je ne l’imagine malgré tout pas si douce que celle que tu décris, mais après une telle lutte, pour cette femme, elle pouvait l’être...
Un texte magnifique, Viviane, tu rends ce difficile moment si doux. Merci
Sourire

merci à toi Vanina. la mort est douce. ce qui ne l’est pas c’est ce qu’endurent ces malades avant. la douleur physique en particulier, pas toujours bien calmée (réticence des soignants à la morphine encore aujourd’hui..)
Bisous à toi.

Tu penses bien que dés que j’ai vu le titre....On a déjà beaucoup discuté de la valse triste ? Mais là tu la rends encore plus belle. Comme la personne que tu accompagnais. Celà gomme presque la tristesse de la situation.
Cette valse triste est trés belle à écouter, mais encore plus belle et captivante à jouer. Bises.

Coucou, Ami.
Clique sur le lien en desous que nous offre mon magicien préféré, et tu pourras te refaire des émotions. Tu sais à quel point cette piece est importante dans ma vie et le répertoire de notre école, je suis heureuse de la perspective de la partager avec toi au mois de mai. Bisous

Tu racontes merveilleusement ton travail d’accompagnante Viviane.

Je crois que la mort demande une préparation, un climat et une acceptation implicite. S’il manque l’un de ces ingédients, cela peut être un échec durable, une douleur cuisante ou même un drame humain irréparable. J’en ai connu de tels !

Cette mort sur fond de valse de Sibélius est presque placée sous le signe de la connivence.

Même en fichier midi, cela m’émeut au plus profond. Demande à ton voisin du dessus (Domi) nous nous la jouons à quatre mains et elle est comme une drogue...
Oui, l’accompagnement, un chemin, un horizon en soi.. le lieu ou rencontrer l’accomplissement des êtres.
Merci mon Prince d’avoir senti la connivence..