En réponse à..

Bonjour François.
Je suis venue plusieurs fois lire votre poème. Il fallait que j’arrive à éclaircir la contradiction que je percevais entre le thème, les couleurs de l’illustration et le contenu des vers.
« J’ai mal… » là je comprends François
« Je vais périr de maux d’humanité » là j’ai envie de vous dire « surtout pas François car ça ne changera rien ».
Nous sommes nombreux à faire le même constat que vous, à être révoltés ou à pleurer devant les images désastreuses des quatre coins du monde que l’on nous déverse chaque jour. Que faire ? Je ne sais pas mais ce dont je suis certaine c’est que nous ne devons pas nous laisser périr. La colombe blanche dans le bleu du ciel me dit que vous-même savez qu’il faut se raccrocher à l’espoir.
Merci quand même d’avoir rappelé à nos esprits toutes ces choses qui je le sais n’empêcheront pas la colombe de vivre et de voler très haut dans le ciel. Sincèrement. Annie

merci mes chers amis
j’ai tardé à vous répondre mais je me devais devant la pertinence de vos commentaires de le faire au plus vite.
le poète même s’il garde toujours l’espoir en la vie ,d’un monde plus beau qu’il aime à peindre de ses mots ne peut s’empêcher de crier et de porter vers ce monde qui l’entoure la description de sa souffrance qu’il ne peut garder dans la solitude son cœur, alors devant l’injustice de ce monde il n’a que le dire de ses mots pour transpercer la folie de ces humains viciés ce qui le réconforte car son sacerdoce est de n’avoir que beautés à dessiner en ses vers au chaque matin.

amitié poétique

tikalo

Bonjour François,
Le trop de souffrance ne risque-t-il pas de tuer la souffrance ? Je veux dire : le trop ne risque-t-il pas de donner envie au lecteur de se protéger ?
En tout cas, tu as bien rendu la colère et l’impuissance.