En réponse à..

sans la littérature, ce texte serait une déjection ; ou comment rendre belle une souffrance presqu’absolue. La réussite de cet ouvrage tient à l’absence de moralité. Et la littérature fait le reste, les questions, les réponses de chacun et l’émotion qui change. Merci

Purée, je suis vraiment désolée, je n’avais pas du tout vu ton commentaire ! Je viens de me reconnecter du coup...

Enfin bref !

Tu as tout dit, je crois. Même si le but n’est pas de rendre beau, simplement d’exprimer ce qu’on peut se poser comme questions... extérieurement.

Merci à toi.

Terrifiant ce texte !

Toute l’horreur en quelques lignes : une vie gâchée, brisée sous le poids de ce que l’homme peut avoir de plus bestial !

Merci Saskia.

Et si dommage, je trouve, pour celui qui croyait etre un homme bien, de se découvrir ainsi...

Tu crois, Delphine, qu’on peut nous pardonner ce côté abominable, monstrueux ? Tu crois que toi et moi on aurait pu envoyer un enfant à Auschwitz ?

Merci, Delphine !
Amitiés
Saskia

quelle horreur...
que dire ?
pas de pitié pour ces lâches !

Pitié pour le mal, pitié pour le mal...
Est ce qu’on peut les comprendre, ces gens là ? J’aimerais essayer, moi...

Il parait qu’on pardonne !

Amitiés, Papafred =)
Sophie