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Force et détresse, vie et croyance... L’Afrique que je découvre à travers tes mots.
Sourire

Commentaire qui dit bien tout les contrastes que j’ai tenté de faire passer, merci Douce Vanina de ta lecture si fine.

Joli poème qui dépeint bien toute la difficulté à survivre dans ces régions,et qui appelle aussi à la sagesse.
On ne se défait pas de ses racines ; Bisous ;

Non, Domi, on ne peut oublier ses racines.

Si tu avais vu ces champs de mil danser sous les vents secs qui soufflaient du désert.

C’est vrai qu’une des préoccupations là-bas sont les dégats produits par les éléphants qui piétinent les cultures.Trouver l’équilibre, pas simple...Bisous

Pour le fond, j’aime les personnes qui ne renient pas leurs racines, et puis les tiennes sont si belles et variées je crois ?
Pour la forme, les strophes en 3 vers donnent de la vie

Des racines enfouies dans la nuit des temps, et qui remontent en vagues parfois (sourire)
Merci d’avoir entendu chanter le ternaire du poème, je reconnais le musicien des mots...