En réponse à..

j’aime beaucoup...
peu de mots mais énorméments d’images...
on imagine sans peine un "autour"...
juste ce qu’il faut de "dit" pour créer une atmosphère...
j’aime !

Elsy

Mais ce gentil commentaire est presque plus long que mon texte.
Voilà qui me donne envie d’écrire.

Merci et à bientôt

Voici quelques ’proverbes minutes’ que m’inspirent vos mots, Patrick et Lucille (à qui tu offres ce clin d’œil, si je ne m’abuse, un beau flash back sur son poème ’la danse du sabre’)

Deux poèmes courts, comme quoi ce n’est pas la longueur qui fait la qualité...

Alors voilà mes flashes :

Arme à droite, larme à gauche.
Quand le sabre s’allie à la faux, ne donne pas cher de ta peau.
Parole affutée vaut mieux que lame émoussée.
Bras armés de cimeterres, bras ballants au cimetière.
Quand le sabre frappe à l’aveuglée, l’avaleur n’attend pas le nombre des années.

Enfin sachez, Lucille et Patrick, qu’à la fin de vos envois, je fus touché !

Ce cher Papabul qui joue les entremetteurs . (Lol)
Désolé, dire que le texte de Lucille ne m’a pas inspiré serait sans doute exagéré car il m’a beaucoup plu, et inconsciemment il m’a certainement marqué. Elément déclencheur, peut-être, à mon insu.
Non en fait j’ai écrit ce petit texte pour répondre à une contrainte appelée DIAPOESIE sur "Fulgures.com"
Objectif : Ecrire un texte court, qui nous fasse vivre une scène instantanée, un peu comme une photo. j’y ai mis un peu d’humour, enfin je crois, et un jeu de mots.

Je suis très content que tu ais réagi ainsi, ce texte semble t’avoir plu et il obtient des résultat au delà de toute espérances.

Merci de ton commentaire, merci pour moi et pour Lucille.

Moi qui ne sait jamais quoi dire dans ces cas-là, je trouve que la sobriété vaut mieux que les grands discours. D’autant plus que, normalement, la vie ne s’arrête pas à la mort physique alors nul besoin de s’attrister trop longtemps, le "mort" ris bien de son côté !

Nicolas.

That’s right !