En réponse à..

C’est un texte prenant comme ce sentiment que tu décris, qui vient parfois, repart parfois aussi, mais qui laisse toujours une trace.

Mais il faut pouvoir aller voir de l’autre côté comme te l’a suggéré Papabul.

Peu importe, tu es là, et le monde vit avec toi.

Amitié

Marane

Oui, vous avez sans doute raison, tous les deux ! (Ceci dit, j’exagère bien sûr souvent en écrivant : il ne faut pas croire que je suis une déprimée suicidaire ! ^^)
Merci de ton sympathique commentaire !

Ghil.

Un texte dérangeant...

Pardon pourquoi, pour qui, de quoi ?

Tu es là, tu es toi, et c’est ce qui compte !
Tu es là, tu es toi, pas à cause ni pour les autres !
Et qu’importe leur regard, sont rop cons...
Incapables qu’ils sont,
De voir qui tu es,
Toi qui n’est que toi...

Et pardon de ne voir que cette belle lumière…

papabul

Ne vaut-il mieux pas s’excuser de quelque chose dont on n’est pas coupable plutôt qu’oublier de le faire à propos de quelque chose dont on est bel et bien responsable ?...
Mais une part de votre (ton ? j’hésite toujours...) commentaire reste vraie malgré tout, et ce à l’unaminité, je veux dire : nous ne pouvons en effet n’être que ce que nous sommes, et rien d’autre que cela...
Merci de ton beau commentaire !!

Ghil.