En réponse à..

Ton texte fait remonter un souvenir à ma mémoire. J’étais venue sur Paris et ma cousine me fait prendre pour la première fois le métro. Je ne te raconte pas tout ce qu’elle m’a dit mais bref j’avais l’impression d’entrer dans un monde parallèle. Elle m’avait surtout expliqué l’indifférence des gens. Et en entrant dans le wagon (moi avec mon sourire sur les lèvres) un monsieur se lève et me cède sa place. Elle est restée en état de stupeur et m’a demandé ce que j’avais fait ? J’ai dit absolument rien juste un sourire et ce que j’étais moi avait suffit à rendre un peu d’humanité chez cet homme. Et je te jure Aimela que j’avais pas usé d’artifices (décolleté ou maquillage).
Comme quoi il faut être ce que nous sommes et ne laisser personne changer cela... surtout pas ceux qui portent le virus tristesse c’est les pires.
Bisous à toi j’ai passé un bon moment peu ordinaire en la compagnie de tes mots.
Babou*

Merci Babou, pour ton témoignage, j’ai moi aussi souvent le sourire, cela déride énormément les personnes ronchonnes

le fait d’être dans la foule,dans la proximité de gens étrangers est toujours source de tracas à mon humble avis,les regards inquisiteurs ,on peut parfois lire leurs pensées à notre égard,l’indifference est le seul remède sinon gare au virus.tres plaisant texte.
amitiés aimelasorc

Merci Heavensgate pour le gentil commentaire

« Si j’avais un décolleté plongeant, je comprendrais mais là non, je ne vois pas. »

Et si la clé du mystère était simplement ton sourire qui illumine ton visage dans cette masse compacte et grise, ce résumé de la vie qu’est ce train-train quotidien ?

Tu prêches une convaicue Fred( rires) C’est ce que j’ai voulu expliquer à une amie qui en veux aux blondes, les prenant pour des libertines . Merci pour le commentaire