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L’odeur du mépris
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> L’odeur du mépris 5 juin 2005, Bernard Lancourt IP:891d49c60f0cdd79
Il faut être fort pour écrire un tel texte. Fort au sens physique et moral. Pourtant il faut parfois écrire sur un tel sujet. Bravo.
> L’odeur du mépris 6 juin 2005, Viviane IP:68191c17a1bf71d7
Ne ne suis forte ni moralement, ni physiquement, tout au plus assez résistante (sourire).
par contre déterminée depuis plus de quinze ans à faire avancer ce combat pour l’accompagnement de la fin de vie.
L’écrire permet aussi de sensibiliser.
Merci de la visite toujours chaleureuse qui donne envie de continuer.
> L’odeur du mépris 5 juin 2005, Aimelasorc IP:652c5795036fd23f
Dans le monde hospitalier, j’ai connu des médecins et des infirmières totalement dévoués aux malades et d’autres qui n’en avaient rien à foutre et c’était bien avant les problèmes actuels de manque de personnel. Courage dans tes actions Viviane
> L’odeur du mépris 6 juin 2005, Viviane IP:68191c17a1bf71d7
Oui, Aimela, et d’autant plus dévoués aujourd’hui qu’il y a pénurie de moyens humains et financiers.
On continue de se battre (sourire) pour faire revenir dans les moeurs cette idée de l’accompagnement de celui qui s’en va pour toujours par toute la collectivité. Pas simple.Bisous à toi.
> L’odeur du mépris 5 juin 2005, Delphine Lemaire IP:252bcaf5e3fa681b
Ce texte est terrible...il a fait remonter en moi des souvenirs douloureux de la fin de ma grand-mère.
Cette odeur de mépris est celle qui m’éloigne si souvent des milieux hospitaliers...
Un texte empli de réalité triste et de sensibilité...
Merci Viviane...
> L’odeur du mépris 6 juin 2005, Viviane IP:68191c17a1bf71d7
Il y a partout des gens qui craquent. Avec le recul, c’est ce que j’analyse de la réaction de ce médecin par ailleurs dévoué.
Evidemment dans des services où on compte une moyenne de dix décès par semaine, c’est sûrement difficile de garder son self control.. Bisous à toi, Delphine et désolée d’avoir fait remonter des souvenirs douloureux.