En absence 11 novembre 2007, Pierre DKR IP:0ba46700fc3401f6
Tant de douleur et de douceur, flamme et glace dans une projection qui ne vient semble-t-il que d’un présent.
Toute la force que je voudrais avoir dans mes mots parfois aussi.
Dans ma plumothèque, direct ce texte. Merci Delphine
En absence 23 novembre 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
C’est étrange comme souvent tu associes les mots "douleur" et "douceur" lorsque tu me commentes. Le pire c’est que tu as sans doute raison !! 
)
Cette force tu l’as aussi souvent dans tes mots, Pierre, je peux te l’assurer c’est pour cela que je trouve dommage que... mais ne revenons pas là-dessus pour le moment... )
Bisous.
En absence 4 novembre 2007, Aimelasorc IP:fce1ee5fe6d16d74
Décidément après le poème de Bernard et d’autres encore qui me mettent le boudon à l’âme, tu appuies en plus sur la blessure. J’aurai jamais du venir ce matin, vous me faites tous pleurer. Je sais on est en automne mais quand même, il y a de belles lumières dans les arbres, les feuilles sont de toutes les couleurs sauf vertes en plus elles cachent l’herbe( rires). Un petit peu d’optimisme sinon on ne passe pas l’hiver et moi, je veux vivre 
En absence 6 novembre 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Désolée Aimela de t’avoir fait pleurer avec ce texte.
L’automne est une saison ambivalente, un peu de tristesse résiduelle malgré la beauté des paysages et des couleurs.
Tiens, je te fais une bise pour me faire pardonner !
En absence 3 novembre 2007, papabul IP:203344e16e0389dd
Quelle désespérance...
Et que de questions soulevées...
"Ce jour là, je ne serai là pour personne..."
>> D’autre que toi ? Et la vision du retour de la silhouette aimée sera une nouvelle chance, une nouvelle vie ?
>> Ou bien n’y-a-t’il plus d’espoir ?
Une Delphine sans espoir ? Mais voyons ! Cela ne se peut !
>> Ou bien n’y-a-t’il plus d’envie de rouvrir une n-ième fois la porte ?
Et, dans ce cas, serait-ce : ce jour là, au fond du fond, elle trouvera la force de taper du pied pour remonter, ce jour là... lorsque la silhouette se pointera, elle trouvera le courage d’envoyer promener celui qui l’a si souvent fait souffrir ! Et il saura enfin ce que le verbe "manquer" implique comme déchirements et comme renon...
Et dans ce dernier cas "si seulement je pouvais lui manquer" reviendrait à "si seulement il pouvait souffrir autant qu’il me fait souffrir..."
Mais au fond, pourquoi me poser tant de questions ? Ce texte est un tout qui réveille tellement d’émotions ne réclamant, elles, aucune explications, aucune réponses, de l’émotion à l’état pur, à consommer sans compter, comme quand on aime et... qu’on l’attend...
amicalement,
papabul
En absence 6 novembre 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Ce jour-là Frédéric, je ne serai là pour personne, pas même pour moi...
Quand l’envie n’est plus au rendez-vous, il faut se faire une raison. Et dans ce cas-là les mots se servent plus à rien, la meilleure arme est le silence.
L’incipit n’est pas un souhait, seulement peut-être un espoir.
Merci de ton commentaire et de ta lecture toujours si sensible Frédéric !
Bises.