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Chère Viviane, tu es un grand écrivain. Ta plume vive peint et dépeint avec une facilité et un vitesse qui donne le vertige. Les images et les odeurs m’ont fait voyager loin.

C’est adorable Bernard. Ce texte m’a fait mal en le sortant, mais j’y ai été aidée par un lecteur de l’Atelier d’écriture où je me fais un peu la plume au niveau prose. Il est exigeant et c’est formidable , car il me pousse dans mes retranchements avec beaucoup de gentillesse et de fermeté en même temps.
Heureuse de t’avoir fait voyager. Amicalement à toi.

Beaucoup de choses dans ce texte trés agréable, mais ça ce n’est pas nouveau. De l’universalité de certaines odeurs aux interrogations que se posent les enfants, et que les adultes ne peuvent comprendre.
Pour en revenir aux poules, j’imagine qu’elles vont déposer leurs œufs dans les endroits impossibles pour les protégerdes prédateurs (pas toujours suffisant.
C’est amusant, j’ai eu presque la même expérience avec les œufs pourris, quelle infection, et suis devenu allergique au soufre en traitant des vignes, ce qui ne m’empêche pas d’en boire la récolte (sourire).
Bien beau texte sur les odeurs, et ce qu’elles déclenchent(je n’oublie pas mon savon de Marseille ; Bisous ;

Notre enfance peut être, si on y prête bien attention, présente dans des milliers d’odeurs, traces laissées au bord de nos narines, de nos mains et de nos yeux, car une odeur ne va pas sans la couleur, la température du jour ou de la nuit, la brutalité ou la douceur du chemin sur lesquels diffuse son sillage.
Merci de ta lecture , Domi, et à demain.

Incomparable, ce talent pour sentir, ressentir, écrire et décrire. Quelle sensibilité. J’aime.

Bisous

Mimi

Merci Mimi, je ne fais que transcrire ce que j’ai vécu...Du mieux que je peux.