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Infiniment touché par ce texte hivernal magnifique ; j’ai repensé à ma Grand Mère que j’avais surpris une fois disant à quelqu’un(e ?) "va, prends moi maintenant, ça suffit comme ça" ; elle mourût quelques jours semaines plus tard.
Mais une douceur infinie ce dégage de cette histoire, merveilleusement contée. Je pense que ce que j’apprécie le lus, c’est l’originalité ; on est loin de la traditionnelle "faucheuse" et autres momies poncives...

C’est étrange ce que tu me racontes à propos de ta grand-mère car ce n’est pas la première fois que j’entends parler de ce genre de choses et tu connais mes convictions par rapport à ces "coïncidences" !

Je n’aime pas cette idée de la mort représentée comme un spectre hideux ou un corps en putréfaction. Elle nous apparaît peut-être sous les traits d’un être cher ou d’une inconnue souriante... ça la rend déjà plus sympathique !

Merci de ta lecture et de ton commentaire Pierre.

Un très beau conte où la faucheuse a troqué son grand manteau noir et sa faux contre le sourire d’une douce jeune fille.

On représente souvent en effet la mort comme un être effrayant et pourtant elle ressemble peut-être à une personne toute ordinaire. Au 16^e siècle, dans la poésie espagnole, elle apparaissait sous les traits d’une femme très belle.

Merci pour ta lecture et pour ton commentaire Patrick.

Cette attente tranquille devant l’inévitable est très émouvante. Ne pas voir la "grande faucheuse" comme une ennemie, mais comme une amie qui accompagne vers un ailleurs différent.
C’est très joli Delphine. Merci

Amicalement
Freya

Comme je le disais à Clo, je me suis inspirée d’une coïncidence étrange entre deux personnes très âgées dans mon entourage. Et puis, c’est certainement une façon aussi de se rassurer que de penser que la mort peut venir dans la sérénité !

Merci Freya de ce gentil commentaire.