En réponse à..

C’est un texte très émouvant Narimen !
Merci pour ce poignant témoignage et le défi du mois fort bien relevé.
Clo

merci a toi clo, amitiés

Quel gachis que ces guerres. Je ne connais ce conflit que par des témoignages de mes proches, j’étais trop petite à l’époque. Merci de nous faire partager tes souvenirs de lépoque

merci a toi pour ce commentaire, je suis sincerement touchée.

Narimen,
cette histoire me rappelle mon retour d’Afrique en 61 et le pire c’est qu’on m’a fait doubler ma seconde année sous prétexte que je devais m’acclimater !

Désolant pour les frères de ta maman, victimes de la bêtise des hommes : pas ceux qui luttent pour leur liberté, mais de ceux qui ne savent pas « composer » et trouver un nouvel équilibre en acceptant, simplement, le droit à l’autre de disposer de son destin.
Je ne peux me permettre de juger la guerre d’Algérie, je ne suis pas assez érudit, je ne peux m’empêcher de croire qu’il n’y avait pas moyen de réaliser l’indépendance plus en douceur, de manière diplomatique, pour peu que les « colons » soient simplement plus ouverts. Ils ont voulu tout garder, ils ont tout perdu.
Ce fût pareil au Congo, mais en moins dramatique, je crois (je n’avais que 7 ans). Au Rwanda Burundi, où nous étions, l’indépendance fût, d’après mes souvenirs, plus calme vis-à-vis des « colons » (par contre beaucoup de luttes interethnique) et préparée, par l’administration Belge, dès la fin ’59, début ’60 et comme je le disais, nous sommes partis dans le calme en ’61. Et, là, comme ta famille, un sentiment de déracinement... tout recommencer...

Emotion partagée, donc...
amicalement
papabul
PS ce poème, serait également bienvenu dans la rubrique "le thème du mois" puisque tu t’es pliée à l’exercice ’imposé’ )

bonsoir. mis à part la lampe !! c’est une histoire vecue, presente encore dans ma mémoire, l’émotion et donc partagée, merci a toi pour ce commentaire .