En réponse à..

Il doit y avoir une faute, un petit truc qui cloche. Ca ne peut tout de même pas être parfait. Voilà Delphine qui me fait pleurer. Alors, avec la souris, je remonte vite vers le haut de l’écran, pour voir la photo. Ca va, elle sourit toujours. Ouf !
Je regarde la rubrique :" Nouvelles" Bon, ce n’est " que " de la littérature.

"Comment venir à toi quand l’incertitude envahit mes veines comme un remord vivant ?"

Pourquoi cette phrase, pourquoi pas une autre, j’ai l’embarras du choix.
Elle me plaît, cette phrase, elle est courte, elle résume beaucoup de situations.

Merci Delphine pour ce très beau F...ameux texte.

Ben alors Patrick, tu veux que je te prête mon mouchoir pour sécher tes yeux ?

C’est d’ailleurs très bizarre car au travers des commentaires je me suis rendue compte que pas mal de personnes avaient été émues par ce texte et pourtant je n’ai pas versé une seule larme en l’écrivant, alors que le suivant Memento quia pulvis es m’avait davantage ébranlée.

Merci pour ce si gentil commentaire Patrick.

Les images se bousculent dans la glace laissée par la lame dans la plaie.

Miroir dans l’âme, Ô blessures, qu’il serait bon de vous laisser,

Beau chemin de mots que celui que tu nous as fait parcourir.

merci

Oh oui, qu’il serait bon de pouvoir parfois appuyer sur la touche "effacement" de notre mémoire !

Et en même temps, nos joies et nos maux font de nous ce que nous sommes et c’est peut-être là, dans ces souffrances que nous forgeons notre avenir.

Merci de ton passage et de ton commentaire Kyl.

Que puis je dire ? je reste sans voix, trés beau texte Delphine toute sa tristesse et sa douceur représente sa force, avec un je t’aime qui conclu bien le tout...
Bravo Delph, Bravo...

C’est étrange de voir que ce texte que j’ai écrit en très peu de temps (à peine 20 minutes) touche autant de personnes.

C’est vrai que ce texte peut donner une impression de tristesse et pourtant je n’étais pas triste en l’écrivant.

Merci Spica pour ce si gentil commentaire.

Bises.