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Une envie indicible
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Une envie indicible 7 août 2007, papabul IP:3b44e1a63ca87980
ça bouillonne dans cette petite tête là, ça s’emballe dans ce tam-tam là..
Faire, ne pas faire, défaire, refaire, faire-faire (le mieux quand on a pas envie), y croire dur comme fer et pourtant se sentir si mou du genou, la goutte qui rêve de déborder du ras le bol et provoquer un nouveau tsunami dans le tiramisu dominical.. faire une dernière fois la nique aux adultes avant de rejoindre leur rang...
On ne sent qu’une seule chose quand on a 18/20 ans, l’absolu besoin de donner, de se donner, le besoin de hurler, de se battre, le besoin aussi de marquer la terre. Le besoin -surtout- de ne jamais ressembler à ces veaux d’adultes...
Alors on s’accroche des rêves, on s’accroche à ses rêves et on accroche ses rêves à tout ce qui passe, et ce qui passe...ça peut être n’importe quoi ou n’importe qui.
Et bien entendu c’est bien plus compliqué que cela..!
Si seulement tout était plus simple, plus accessible.. difficile de comprendre ces concepts, ces idées prémâchées par d’autre et qu’on te glisse en douce dans ton biberon.. la course au ‘bonheur’, le ‘grand amour’, la ‘réussite’...
Le véritable problème, vois-tu, c’est que 18 ans (et suivants), y-en-a pas pour tout le monde ! Bien forcé d’avancer pour ceux qui suivent..
Alors voilà Lyssia,
bienvenue dans le monde, rassures-toi, il y a plein de place pour toi, et plein de couleurs pour laisser libre cours à ton imagination, à ta fantaisie, à tes chagrins et tes colères.
Bien entendu tout n’est pas que partage et harmonie (sauf sur ‘la plume’ ?), mais rien n’empêche de crier, de rire, de marquer la terre... on peut sinon ‘tout’, du moins beaucoup, et même s’il faut respecter quelques règles, les rêves sont accessibles.
Bienvenue, toi qui a encore tant d’étoiles dans les yeux...
(ou alors c’est dans ma tête, ben non, hein ! dans tes yeux !)
Amicalement,
Une envie indicible 8 août 2007, Lyssia IP:9c259c53447015d4
Bonjour,
L’origine de ce texte est l’envie d’extérioriser un certain nombre de choses que je dois garder pour moi sans le montrer, une sorte de combat intérieur entre la raison qui me dicte d’être calme et patiente et ce ras le bol de l’être toujours devant le nombre assez important de soucis...
C’est l’envie d’une fuite en quelque sorte, de partir loin des problèmes pour une fois, de laisser tout et tout le monde, mais rattrapée toujours par ce devoir de rester et cette réalité qui m’en empêcherait de toute manière.
Mais je n’ai pas de rêves, peut-être est-ce là le problème ? J’essaie d’être réaliste et objective au maximum, ce qui m’empêche certaines désillusions sur la vie... Mais ce n’est pas le sujet de mon texte
Merci, et à bientôt
Lyssia