En réponse à..

Antidote pour un demain qui n’existe peut être pas... moi dans mes silences je laisse vivre mes rêves... sans plus aucune peur aujourd’hui parce que je sais au fond de moi qu’enfin je pourrai me reposer de mes souffrances. Et puis la vie se met à battre là tout au fond et fait jaillir de nouveaux rêves, de nouveaux espoirs, des rires, du bonheur et l’antidote fait son effet et demain se remet à exister plus fort que jamais...
La vie c’est fragile, alors vivons là simplement....
Bisous de ta correspondante.

Babou,
j’ai pleinement conscience que mes interrogations existentielles n’ont aucune commune mesure avec ton combat. Et je suis littéralement admiratif. J’ai plein de leçons à apprendre de toi !
D’un autre côté, dans ce texte, il s’agit juste d’une réflexion sur le fait que la nuit peut être conseillère ou sans fin et qu’il serait dommage de partir avec une impression d’inachevé, tu vois (et sans doute mieux que personne) ce que je veux dire ?
Je te remercie pour ce commentaire émouvant et te souhaite tout le meilleur !
Amicalement
frédéric

allons "papa" pourquoi tant de questions au sujet du grand saut,il faudra bien y aller un jour,il faut juste se dire que l’on sortira des ténèbres de l’untérus de ce monde pour une nouvelle naissance plus sublime où tout est amour,bonté et lumière.alors soit au rendez vous cher ami.
amicalement

Justement, Heaven mon ami, je ne sais pas ce qu’il y a de l’autre côté et j’aimerais partager tes certitudes, mais elles me sont étrangères.
Je ne crains pas de quitter "l’utérus" (belle image !), je ne voudrais pas partir sans avoir eu le temps de mettre de l’ordre dans ce que je laisserai derrière moi.
Je suis certain d’une chose, j’ai encore plein de choses à apprendre et, à te lire, je crois sincèrement pouvoir y puiser pas mal d’inspiration pour terminer mon cycle de manière plus intelligente !
amicalement ;
papabul

A l’aube d’un jour nouveau, si l’on se retourne vers le passé, qu’y voyons-nous ? Des rêves oubliés, des illusions perdues, des visages croisés sur lesquels nous aurions peut-être du nous attarder, d’autres qui sont passés et que nous n’avons pas su ou pu retenir...

Mais si l’on regarde vers l’avenir, on se rend compte qu’il reste tant et tant de chances à saisir, tant d’envies...

Un texte qui oscille entre nostalgie et espoir...

Merci Frédéric.

Bises.

NON !
hihi
Merci à toi (et aux autres plumes qui me font l’amitié de me lire)..
je suis d’accord avec ce que tu dis, l’avenir plein de promesse ou plutôt de surprises, bonnes ou mauvaises, qu’importe puisqu’il s’agira toujours d’expériences et de "leçons".
Nombreux sont ceux qui ont "zappé" "nuit noire, antidote ou passage mitoyen ?"
et c’est important également car vois-tu le vieux rhinocéros au cuir tanné que je suis (ce qui ne fera pas plaisir à Bernard puisque nous partageons le même bel âge) a sans doute un peu la crainte de voir la pendule égrainer inlassablement les heures.. Il se dit qu’il est bientôt temps de remiser son trouble et ses rêves au garage, accepter la ‘justice’ du destin sans se décourager. Et, après une dernière bouchée de saucisson, écrire le mot "Fin" d’une écriture tremblée mais élégante, sur la dernière page du « grand livre ».
Cette nuit sera-t-elle la plus noire de toutes où encore une fois conseillère ?

Inch’Allah !

J’ai malheureusement de très très bons amis malades autours de moi et d’autres qui ont déjà fait le grand saut... alors certains soirs.. le vent revient m’inoculer le venin du doute..
amicalement,
frédéric