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Lettre ouverte 22 juin 2007, heavensgate IP:debdf11e6b799b14
qu"est ce que je suis en train de lire là MARIE ? est ce un moment de faiblesse humaine ? si c’est le cas je comprendrai.
effectivement tu n’es qu’un grain de sable comme chacun de nous,mais tu es un grain de sable qui a sa place dans cet univers et qui donne bcp de joie et de bonheur aux autres,soies juste comme cette terre qu’on foule on y deverse le bon comme le mauvais et il n’en sort que du bon idem pour l’océan et pour ce ciel,on les nourrit de toutes sortes de choses bonnes et mauvaises et il n’en vient que du bon,soies juste toi même,cette femme merveilleuse qui sème la joie et le bonheur là où elle passe.
affectueusement
Lettre ouverte 22 juin 2007, eden blu IP:6e32e4829b12ed1e
un gros coup de blues ici, un instant de questionnement dans un passage difficile, où j’avais envie d’avoir un duplicata de moi pour mettre les bouchées doubles, et réussir à booster non seulement l’entourage, mais aussi les projets en attente de voir le jour....
Merci de ce commentaire ami de l’autre rive
bien affectueusement
Eden
Lettre ouverte 18 mai 2007, papabul IP:3265e42610727cdf
Que faut-il dire à une amie qui souffre, qui ne voit plus que les difficultés ? et puis admettons que je donne mon avis, qui dit qu’elle ne pensera pas que je cherche à la consoler ou à nier sa souffrance ou qu’il s’agit de compassion..?
Difficile, que faut-il dire, on peut proposer de l’aide, une analyse de la situation, mais dans le seul but d’avancer, pas de se complaire dans les regrets, les doutes ou le découragement...
J’ai parfois aussi ces moments de solitude/lassitude où tu te demandes à quoi sert de continuer à lutter, pour qui-pour quoi ? toujours tirer les autres qui, eux, ne se bougent pas le popotin et ne prennent pas conscience du fardeau qu’ils ajoutent à ta peine..
Mais je sais aussi, pour te lire régulièrement, que tu es une battante ! ton sourire en dit long sur tes intentions !
Ne te perds plus dans le regard des autres, ils ont tort, forcément, s’ils n’ont pas la lucidité de comprendre à quel point ces rêves te sont vitaux.. Et puis dis-toi que ce n’est pas en toi qu’ils n’ont pas confiance... c’est en eux !, mais ils sont incapables de l’admettre...
amicalement,
frédéric
Lettre ouverte 19 mai 2007, eden blu IP:0ae7237cd0360136
Simplement lui dire que pleurer un bon coup ça fait du bien, cela permet d’évacuer toutes les tensions, le trop plein d’émotion.
Je ne vois pas que les difficultés, je venez juste ici faire un constat (par le fait que l’équipe qui gravite autour de moi, ne compte que sur moi, c’est épuisant, vrai que pour les bouger gr ! ils ne savent que se plaindre, ils sont lourds), envie de pousser mon coup de gueule pour me libérer (et Dieu que cela fait du bien).
C’est vrai qu’il m’arrive d’être en souffrance je ne vais pas le nier et c’est parfaitement humain. Je me décourage aussi parfois parce que tout prend du retard. DES années de bataille, je vois le bout du chemin, je ne vais pas m’arrêter en route, sauf si la vie en décide autrement, auquel cas, j’espère que mes enfants reprendront le flambeau, car je leur laisse un super héritage que mes mots, des pages et des pages depuis plus de 30 ans que j’écris.
MERCI FREDERIC, de ce mot, j’essaierai de ne plus me perdre dans le regard des autres, tu as raison c’est en eux qu’ils n’ont pas confiance
bien amicalement
Bisous
Eden
Lettre ouverte 18 mai 2007, Claudie Becques IP:b57524b052759db8
Premièrement je me réjouis que tu ne sois pas décidée à écrire le mot FIN !
Pour le reste je ne sais que trop bien ce que tu ressens, pour passer également très souvent par ces phases de découragement. On donne sans compter le meilleur de nous à tous ceux qui en ont besoin et dès qu’ils vont mieux on redevient transparentes... Délestées de toute l’énergie dont se sont nourris les autres on poursuit notre chemin seules, vidées, désabusées, écœurées, jurant qu’on ne nous y reprendra plus.
Et puis, on refait la même bétise, parce qu’on ne se refait pas !
Amicalement. Clo
Lettre ouverte 18 mai 2007, eden blu IP:0ae7237cd0360136
et non je n’ai pas encore dis le mot fin, je n’ai pas l’intention de baisser les bras, même s’il faut pour cela puiser profond l’énergie dont j’ai besoin, j’irai.
c’est vrai que c’est parfois décourageant tous ceux de mon équipe qui gravitent autour de moi et qui doutent, sans compter les proches.
Mais je finirai par aboutir et aller au bout de mes rêves de cela je suis sûre et comme je les entraîne dans l’aventure, ça finira bien par payer
Merci de ton commentaire Clo
bisous
Eden