En réponse à..

J’aime cette période que tu traverses où même dans les sujets les plus sombres paraît l’espoir... Il n’est pas trop tard pour agir !!!
Sourire

Hélas pour certains enfants, le mal est fait. Rien ne pourra restaurer narcissiquement ces enfants là, mal écoutés, mal aimés. Seul le silence, là encore, dont mes ancêtres Cheyennes disaient qu’il est le lieu de l’harmonie au monde et de l’incorporation au Tout, seul le silence accompagné peut aider. Je suis peut-être une increvable optimiste oops... (sourire)

... "Oh, que j’aurais voulu vous ramener ce soir,
Des mers en furie, des musiques barbares,
Des chants heureux, des rires qui résonnent bizarres,
Et vous feraient le bruit d’un heureux tintamarre,
Des coquillages blancs et des cailloux salés,
Qui roulent sous les vagues, mille fois ramenés,
Des rouges éclatants, des soleils éclatés,
Dont le feu brûlerait d’éternels étés...
...
Mais un enfant est mort,
Là-bas, quelque part,
Mais un enfant est mort,
Et le soleil est noir,
...
Pardon de vous le dire,
Mais je reviens ce soir,
Le cœur égratigné,
Et j’ai le désespoir,
Le cœur égratigné,
Et j’ai le désespoir..."

Barbara

A te lire Viviane, ce sont ces mots, ses mots à elle qui me viennent en musique jusqu’au cœur...
Mots pour maux, je te les offre pour que jamais on ne taise... l’horreur.
Merci Viviane.

Cléo

C’est un honneur que cette comparaison, ma Pharaonne préférée.
Ne jamais taire, encore hier en Espagne, nous avons vu des enfants dans une rue, indescriptible.

Une société qui méprise ses enfants est condamnée à un déclin certain, je ne connais pas Malher, mais j’ai quand même apprécié ton texte et son message.

Toujours cette superbe écriture....

Roland

Une société qui méprise ses enfants et qui aujourd’hui, par médias interposés, les stigmatise à tous bouts de champ sous le triste vocable "les jeunes". les jeunes par ci, les jeunes par là, avec un amalgame sidérant et qui ne contribue pas à la réconciliation des générations... merci Roland d’avoir aimé, bisous.