En réponse à..

Poème absolument superbe que je vais me garder sous le coude pour remettre les choses à leur place dans une profonde sérénité lorsque le besoin s’en fera sentir.
Merci Frédéric !

Chère Clo, je suis très touché par ton appréciation, elle me va droit au cœur.. ’profonde sérénité’, j’aime bien cette image là, au travers de ces quelques lignes, entre deux eaux, il y a certainement mes interrogations ’profondes’ sur le fil de l’eau-vive-vie, cette eau qui peut également noyer.. (le creux de la vague, le tsunami de la colère.. à quoi bon continuer de se battre... la tentation de se laisser doucement couler dans l’eau, un doux retour aux sources...)(je préfère ça à l’habituelle image des cendres et de la poussière )
Le paradoxe, ces idéaux qui guident et ’énergisent’ ma vie... et le risque de m’y brûler les nageoires..
La nécessité, pourquoi pas, de se réfugier dans l’eau lorsqu’elle se fait caressante et maternelle..
La sérénité nécessaire pour affronter cela et regarder l’inévitable terme sans inquiétude particulière...
la sagesse serait-elle le principal privilège de l’âge ?
Merci à toi, Clo
frédéric

Un texte à relire souvent... très souvent, à chaque fois que l’on perd foi en la vie.
Nous sommes tous des passagers en transit vers une destination inconnue, tout n’est qu’une question de temps et de moment, certains te diront, comme moi, de destinée.

A peine le temps de dire aujourd’hui qu’il est déjà demain, c’est bien peu de chose le temps d’une vie...

Merci Frédéric.

Bises.

Merci à toi Delphine, ’le relire très souvent’, je ne sais pas.. tant d’honneur... je pensais avoir été un peu confus, quelques idées mélangées, et qui se sont imposée à moi, je t’assures, un peu comme une écriture automatique, la vie, la mort, l’eau qui coule, qui peut être inquiétante ou rassurante, ... le risque de se brûler à ses idéaux, également....
Le « destin » mériterait un peu d’explication, mais pas ici, je vais t’envoyer un petit mail..
Amicalement
Frédéric

Tes mots ont fait remonter à la surface un moment particulier... il y a à peu près un an, c’était un soir et une hémorragie pulmonaire m’avait fait prendre conscience de cette fin si proche... l’instant ou tu te dis que c’est bientôt fini et ou un calme magique envahit ton être...
Le lendemain je suis partie m’acheter une voiture de sport un rêve d’enfant... que j’ai enfin réalisé.
Je sais que ma vie est un sursis alors je me rends compte comme je vais au bout de mes rêves...
Bisous à toi et merci pour cette lecture.
Babou*

waow, babou, quel compliment tu me fais en m’associant à ce moment si intense de ta vie !
je te la souhaite la plus longue et belle possible et surtout pleines de jolis rêves
...
devant tant d’émotion..
un clin d’oeil : au togo, si ton coupé sport est un cabriolet, n’oublies pas de mettre la capote .. le soleil tape et tape !

Merci à toi, chère Babou*, pour cette émotion partagée, j’espère que tes soucis de santé sont loin derrière toi maintenant..
bisous
amicalement
frédéric
ps : je manque un peu de temps pour l’instant, mais compte bien te faire un courrier un de ces prochains jours.