En réponse à..

Tout à fait d’accord avec toi Eszvel sauf, comme Claudie Becques, pour le mot "devoir". Ma conviction étant que si les échanges, amitiés, attachements, évènements heureux ont été vécus avec sincérité ce sont ces souvenirs qui domineront et ils survivront sans aucun effort. L’effort n’interviendra que pour ramener à la surface de notre mémoire les mésententes, trahisons, ...etc et même dans ce cas ils auront perdus leur intensité. C’est un beau texte que j’ai aimé lire ce matin. Merci Eszvel.Annie

Très beau texte ! Très positif ! J’adore !

Merci beaucoup
E.

Beaucoup d’émotion à la lecture de ton texte.
Le seul mot sur lequel je "bute" c’est devoir.
Le souvenir de ceux que l’on a aimés n’est pas un devoir, c’est une inévitabilité :
ce sont des flashes qui nous viennent immanquablement à n’importe quelle heure du jour et de la nuit et n’importe quelles circonstances, tout simplement parce qu’à cet instant là ils nous manquent même avec leurs défauts.
Clo

Désolé pour le retard, mais j’ai été pas mal pris ces derniers temps...
Le souvenir... C’est un devoir d’un certain sens... on parle de devoir du souvenir par exemple lorsque certaines atrocités sont commise par l’espece humaine...

Pourquoi l’utilisé ici ? peut etre parceque cela reste une peur de tout homme que d’etre oublié apres sa mort...

En imposant ce devoir, notre personne dépasse cette état... et dans des cœur on ne meurt pas réellement...

Enfin...
Merci poru ce commentaire.
Amicalement
Y.