En réponse à..

Bonjour Patrick.
Je découvre ce poème, et tu as bien décrit ce qu’on peut ressentir en écrivant et publiant un texte, l’exposant aux critiques.
Bonnes ou mauvaises, il y a toujours la "manière" qui fait qu’elles vont être constructives ou devastatrices.
Certains ne l’ont pas, laissant agir leur spontanéïté, mais d’autres ne l’auront jamais, car ils sont insensibles aux sentiments d’autrui, ne leur importent que les leurs...
Ceux là méritent le même genre de critiques acerbes, juste pour voir ce que ça leur fait à eux...
Ceci dit, pour ma part, j’espère n’avoir jamais blessé personne par mes commentaires, on peut aussi se faire mal comprendre, les mots lus n’ayant pas l’intonation et le regard associés à leur auteur et qui seuls, permettent une parfaite compréhension.
Amicalement
Christine

Très bon commentaire. C’est vrai qu’on est parfois trop fragile quand on écrit, un peu à fleur de peau . J’essaye toujours de mettre les formes, parfois je me plante aussi. Certains prennent un malin plaisir à démolir, plus par jeu que par méchanceté... Ils doivent suivre des cours de critique et s’entraîner sur les autres. Mais ce n’est pas sur ce site que je me suis pris une ou deux claques, mais sur celui qu’il ne faut pas nommer, de peur de réveiller de vieux démons... le Voldemore de la WEB littérature.

J’avais lu ce texte, et l’aurait bien commenté avant, mais je m’étais senti un peu coupable... car je pense qu’il m’est arrivé d’être assez dur parfois, là bas, mais en tout cas je n’ai jamais cherché à blesser un auteur ou l’agresser personnellement ; mais il y en a qui le font, c’est exact ; il faut faire attention aux mots, les mots ont du pouvoir ; il peuvent guérir, mais ils peuvent blesser plus fort qu’un coup ; un texte très juste, succinct et bien écrit.

Sévère mais juste et avec beaucoup d’humour.

Juste une précision, et le débat sera clos, lorsque j’étais sur fulgure, il y avait une section poèsie, qui avait été crée par le WM, donc nous étions à notre place au moins autant que les autres. Evidement il y avait une séparation (virtuelle) entre les fulguristes et les rimailleurs. Ceci explique celà. Ce qui est sur c’est que je n’ai jamais compris les agressions répétées de certains fulguristes envers les "poètes"
Enfin tout ça est bien fini.
Roland

J’ignorais cela, merci pour cette précision.
A+