En réponse à..

Les mots des maux, au cœur du cœur.
J’aime votre façon de manier le verbe.
Sourire

Sympa comme tout votre commentaire, je ne sais si je manie ou malaxe mais il est vrai que j’apprécie m’éloigner des sens convenus. A bientôt...

J’aime beaucoup surtout ce petit bout de phrase "...la poignée est à l’intérieur, comme notre cœur...". Ca m’a fait penser aussitôt à cette chanson de Cocciante "...on en vit comme on en meurt...".
C’est comme un instant de lucidité au milieu de tes autres textes : ça te va bien ;o)

Dois-je en conclure qu’en règle générale je ne suis point lucide ? Des fois je ne peux m’empêcher de devenir très sérieux, un peu chiant et moralisateur ou cyniquement excessif. C’est pour cela que je me réfugie dans des personnages comme le Prêcheur qui me permet de dire un peu la même chose mais en souriant (et montrant les dents). Merci d’être toujours là, c’est avec grand plaisir que je suis ton chemin.

J’aime votre façon de vous exprimer. Toujours attiser la réflexion. Faut-il se taire pour plaire. Faut-il ne point écrire. Si notre cœur n’est qu’une pompe, il y a bien quelques choses qui nous donnent des émotions, des sentiments. Comment l’appelez-vous ?
J’aime le silence et je ne peux vivre qu’avec lui.

si parfois vos textes ne sont à l’envers, mes commentaires, eux aussi sont mélangés.

Comment écrire un silence ? Là vous me conjuguez de bonheur car l’homme heureux se tait sauf pour me commenter ;o)