Tu sais 14 mars 2007, Marie L.T IP:89c85db4c269dce0
Un "Tu sais" soulevant ses faiblesses, ses doutes et ses déroutes ...
Un "Tu sais" révélant aussi toute sa sensibilité et sa fragilité ...
Un "Tu sais" qui ne demande qu’à être entendue et comprise ...
"Tu sais", Delphine, j’ai beaucoup aimé ! 
Amitié à toi.
Marie.
Tu sais 15 mars 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Bien souvent derrière une personne qui affiche une certaine force de caractère se cache une fragilité vraie.
Ce n’est pas parce qu’on retient ses larmes pour donner le change qu’on ne pleure pas lorsque l’on se retrouve seul.
Mais tout cela n’est toujours qu’une question d’apparence, c’est tellement rassurant de penser que l’autre ne souffre pas...
Merci Marie pour cette lecture si sensible.
Amitiés.
Tu sais 7 mars 2007, papabul IP:2c7a87d697af73e9
Que dire ? Touché ! Assurément, il y le déchirement, le vague à l’âme, la désillusion et en même temps tant de révolte et de pugnacité qui sourd et gronde en attendant le moment de sortir de l’ombre pour se faire entendre.. respecter..
nul doute du "rebondissement" (ne dit-on pas que c’est lorsqu’on touche le fond que l’on peut enfin donner le coup de pied salvateur ?). Cela me fait penser à une phrase lue, je ne sais où : La mer... c’est comme en mer. En mer on est bien, on se sent soutenu, porté et -tout d’un coup- on se sent lourd, prêt à couler ou abandonner... le creux de la vague ?
Amicalement,
Frédéric
Tu sais 8 mars 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
C’est bien vrai, rien de tel que de toucher le fond pour se relever et revenir en force !
Nous portons tous en nous, ces instants terribles de souffrance qui nous font sombrer mais qui en même temps forgent notre caractère !
Merci beaucoup pour ce commentaire Frédéric !
Amitiés.
Tu sais 3 mars 2007, Babou* IP:fb86662fd6c45e82
Oh Delphine comme ton texte m’a touchée... il murmure si fort une souffrance qui coule en flot sur ta page blanche. Mais je sais une chose ton cœur n’est pas une pierre brisée... plutôt un cristal brisé... Je ne faisais que passer ce soir en vitesse parce que ma vie en ce moment est un merveilleux bonheur multicolore et je ne voulais m’attarder mais voilà tes mots m’ont accrochée et m’ont retenue... et plongée dans cette douleur si longtemps retenue. Parce qu’on la porte en nous et qu’elle fait de nous ce que nous sommes... des êtres à fleur de peau.
Immense sourire pour toi de Babou*
Tu sais 6 mars 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Moi c’est ton commentaire qui me touche Babou* !! Il y a des soirs comme ça, où les mots ne veulent rien exprimer d’autre que cette douleur qui comme tu le dis fait de nous ce que nous sommes.
Mais aujourd’hui, je suis heureuse ! Heureuse de savoir que tu vas bien et que tu caresses ce bonheur que tu as tellement mérité.
Je te renvoie ton sourire et te remercie d’être qui tu es.
Amitiés.